Archives mensuelles : août 2016

MARTIN Myriam

Myriam Martin née en 1965, attachée aux terres de ses aïeux entre Corbières Minervois et Cabardès qu’elle sillonne en tous sens dès qu’elle peut.

Engagée très tôt dans les mouvements de jeunesse et d’éducation populaire, elle y consacre sa vie professionnelle. Elle intègre l’atelier d’écriture des Mille-Poètes en 2013 animé par Sylviane Blineau et renoue avec le goût de l’écriture qui lui a été transmis par son père, auteur de quelques chansons et poèmes exprimant son amour de la nature et du vivant.

CHAMAYOU Jacques

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Enseignant à la retraite, Jacques Chamayou est né en 1952  dans un village aux confins de l’Hérault à deux pas du département de l’Aude, terres hérissées de poteaux de rugby. De jeune joueur au statut de dirigeant, en passant par la mission d’éducateur, d’entraîneur et de formateur diplômé d’État, il a connu le « continuum » de l’implication dans ce sport.

Le plaisir d’écrire lui est venu de travaux sur différents mémoires, en particulier celui déposé en sciences et techniques des activités physiques et sportives,  relatif à l’évolution du niveau de jeu en rugby déterminé par le degré d’investissement sur le plan psychoaffectif. L’auteur s’est aussi attaché à écrire sur l’histoire du rugby des villages.

Aujourd’hui, la pratique du théâtre amateur est sa passion.

Contact :

chamayou.jacques@wanadoo.fr

NÈGRE Marion

BIOGRAPHIE

 

Je suis née un matin de Noël de l’année 1991 à Béziers, et j’ai grandi à Capestang.

Depuis l’enfance je me passionne pour toutes les formes d’art et je ne me lasse pas de découvrir et d’étoffer petit à petit mes références artistiques.

Après avoir obtenu mon Baccalauréat Littéraire, j’ai étudié la culture espagnole à Béziers.

J’étudie depuis 3 ans à Montpellier et je suis titulaire d’une Licence en Arts Plastiques.

 

Mes créations

marionegre

Cette série de travaux traduit tout d’abord ce qui me passionne, me questionne et également ce qui me révolte. Pour moi, l’art est avant tout une forme d’expression au même titre que la parole ou l’écriture.

J’aime beaucoup utiliser l’encre mais je teste aussi des techniques réalisées grâce à divers outils. Je suis toujours à la recherche de nouvelles techniques et c’est ce que j’aime le plus dans l’art.

 

À travers mes réalisations je vous invite à vous questionner et à vous plonger dans un univers mêlant  noirceur et  gaieté.

Exposition

26 mars 2016, Atelier Encres et Pigments, Béziers

GEORGES VICTOR

COMMUNIQUE DE PRESSE

« Mes FEMMES du MONDE, à moi »

Expo Photos de Georges Victor

A travers ce « pseudo » pré-nominal, Georges Victor dit vouloir rendre hommage aux deux grand-pères emblématiques de son enfance.

L’un, Victor, barouda en un temps militaire, loin de ses vignes de l’Aude natale, dans cette utopie que l’on nommait le Tonkin.

L’autre, Georges, voyageait dans sa tête, en couchant sur des feuilles presque blanches de Séries noires, ses fantasmes d’aventures citadines.

Georges Victor les emporte toujours dans ses carnets de routard…Ils l’aident à voir le Monde.

Entre texte et photo, documentaire et poésie, il présente aujourd’hui une part de ce qu’il appelle :

« Mes Femmes du Monde, à moi »

De l’Afrique de l’Ouest à l’Asie du Sud-Est, ce sont des portraits du quotidien au féminin. Des femmes de tous âges mais plutôt de vieilles grandes dames aristocratiques dans le regard. « Elles sont si bellement fières et doucement courageuses… Simplement enthousiastes ! »

Dernier livre paru :

BIRAPO WADIOUBA, Éditions ECRITOIRE, 2010

Contact :

ECRITOIRE.CAMB@yahoo.fr

georges victor

STROFKA

strof
Artiste d’un genre nouveau, polyvalent, enfant-magicien de cette Hydre immortelle aux ramifications infinies qu’est la littérature, Strofka, qui porte en fait un prénom de conte féerique, était prédisposé à suivre le cheminement, ou plus précisément la quête initiatique, d’un héros espiègle destiné à relever les défis les plus audacieux. Il réussit, en effet, le tour de force de faire naître, à travers ses inventions multiples, une vision inouïe et kaléidoscopique de la réalité qu’il puise au sein-même du flot quotidien d’informations qui ourdit de toutes parts et – onomastique oblige – qu’il détourne !
Dans la lignée de l’OULIPO et des Surréalistes, il se passionne pour les jeux de langage et pour les images insolites. Il traque l’inédit au cœur de l’immensité culturelle pour en extraire ce qu’elle recèle de plus mystérieux et de plus déroutant. A l’instar d’un magicien, il renouvelle cette matière puisée à l’air du temps par des créations poétiques personnelles qui semblent se démultiplier sans cesse et  épouser l’infini de la Création. Il est l’épiphanie d’un monde vertigineux qui se déploie en renaissances permanentes.
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