Archives mensuelles : juillet 2015

Réjane ALZIEU

réjane stylisteCréations de Réjane Alzieu, styliste

BIOGRAPHIE

Stylisme et sur mesure

Réjane Alzieu est issue d’une famille de couturières émérites. Après avoir passé un CAP et un Bac technique en Coupe couture et Stylisme,  cette passion pour la création transmise par sa mère ne l’a pas quitté depuis l’âge de 8 ans ; elle n’a jamais cessé de coudre. Elle a commencé par habiller ses poupées, puis elle a décidé de se mettre à en fabriquer il y a une quinzaine d’années.

Depuis l’été 2015, elle a décidé de créer ses propres modèles pour les défilés et shootings photos.   Réjane fait du sur mesure et adapte le vêtement en fonction de la morphologie de la personne. Son atelier de couture se trouve à Puimisson (34). Elle est par ailleurs modéliste et créatrice d’accessoires.

Création de poupées

Réjane Alzieu héritière d’une tradition ancestrale, s’inscrit dans l’Histoire de la Poupée.

Voilà quarante siècles que ces figurines font rêver les petites filles et participent à leurs jeux. Certaines ont été trouvées dans des tombeaux d’enfants égyptiens, datés du XXème siècle av. J.C. Les toutes premières sont en terre cuite, en bois, en os, en cire, en ivoire ou en jade. Dès le Vème siècle av. J.C. apparaît la notion de jeu et de mobilité, avec les articulations des bras et des jambes des statuettes.

Les premières poupées de porcelaine ont été fabriquées en Chine. Au cours des siècles leurs fonctions ont été nombreuses : cultes domestiques, symboles religieux, objets magiques, mannequins de mode et toujours jouet.

réjane poupées

Fabrication des poupées

Réjane Alzieu ne manque pas de talents. Si elle fait encore des poupées de cire et des poupées de son, c’est surtout le travail de la porcelaine qui l’occupe. Elle a suivi une formation professionnelle rigoureuse qui lui permet de maîtriser cet art ancien, de créer ou de restaurer des modèles de collection.
Depuis 15 ans Réjane fabrique entièrement ses poupées : la pâte faite de kaolin et de résine est coulée dans des moules en plâtre, séchée à l’air libre. Après ponçage, le mannequin est peint et monté à l’aide d’élastiques.  Une tâche qui demande dextérité et délicatesse.

Elle court les vide-greniers en quête de pièces, de vieilles dentelles, de boutons ou de décors.

Son plus cher désir est de faire partager sa passion par le biais d’animations au sein de foyers ruraux de sa région.

CONTACT : poupees.rejane@hotmail.fr

Site : http://www.creartica.fr/blog/3-28-Les%20Poup%C3%A9es%20de%20Rejane

 

Danielle ALARY

danielle

Article paru le 25 octobre 2003 dans le Midi Libre

 » A 7ans , par l’intermédiaire de sa prof de piano-sa passion- elle écrivait la musique de sa première valse. Elle n’a jamais arrêté depuis.

Ex-enseignante d’EPS , l’auteur compositeur aime tous les styles : du classique qu’elle a étudié enfant , à la valse et au blues qu’elle a entendu à la radio et qui est tout de suite entré en elle. De son enfance ariégeoise entourée d’un papa expert-comptable et violoniste à l’orchestre symphonique de Foix et d’une maman qui avait joué aussi du piano et qui écrivait des poésies jeune-fille , la petite  enfant a forgé son âme d’artiste . Le papa pudique et soucieux du qu’en dira-t-on  s’opposera à cette vocation précoce, préférant un « vrai » métier pour sa fille qui choisit l’Éducation Physique et sportive sans renier son amour de la composition et du chant.

Elle s’appliquera désormais à travailler pour être enfin membre de la SACEM,  ce qu’elle obtiendra encore toute jeune  en 1975.

En 1995 et 96  elle donne une série de concerts avec « Le voyage d’Orphéa » ; elle a aussi participé à l’aventure du Satyre de La Vilette », pièce pour laquelle elle a composé plusieurs chansons.  »

Les dates les plus marquantes

1975 : membre de la Sacem

1975 : Passage à la Télé régionale Midi Pyrénées avec une composition à la gloire de Jean-Pierre Rives (une connaissance)

1977 : Patrick Verbeck l’encourage à chanter du blues français

1978 1951 : Travaille et se produit avec le  » Grop Rosamundo  » et Gérard Zucchetto

1995-96 : Concerts en solitaire avec « Le voyage d’Orphéa » , conte musical composé par elle

1998 : « Le satyre de la villette » de René Obaldia avec la troupe de théâtre « Le manteau d’Arlequin«  : plusieurs représentations dans l’Aude et notamment au Festival off de la cité

2003 : Auditorium de Carcassonne : 21 chansons en s’accompagnant au clavier

2004 : Sortie d’un CD : single,  «  Connaissance »

2006 : album CD 21 titres, «  Surface claire »

2009 : Spectacle en solo , chant clavier guitare au théâtre Na Loba à Pennautier

Plusieurs prestation s’en suivront, au sein des » Mille Poètes » de Narbonne , divers vernissages dont  plusieurs chez Poulet de Gruissan et des participations à diverses animations dans l’Aude.

Elle vit dans la Montagne Noire , tout près de Montolieu.

CONTACT : danielle.alary@wanadoo.fr

 

Élisabeth CASTORIANO

élisabeth

Peintre, céramiste et poète

BIOGRAPHIE
Née à Talence prés de Bordeaux , sa jeunesse s’est passée dans les souvenirs des Sépharades du Levant , dont sa famille est originaire, Son inspiration puise dans ces pays de soleil, de sables et de rêves lointains….La Grèce, La Turquie, Israël…. « Elève des Beaux Arts de Bordeaux de 1968 à 1975 , j’ai affinée mon expression culturelle ma vision onirique de ces paysages éloignée « .
Son ancrage dans le pays du Languedoc fut attiré par son atmosphère sauvage parcourues d’ influences diverses .Éblouie par les forces variées de cette contrée…
Son dessin est sobre, ses formes structurées et géométriques , ses atmosphères paisibles et calmes
Pour peindre dit Élisabeth , il faut être dans la force de l’étonnement , être en éveille, demeurer dans l’observation du monde…comprendre la nature, s’attarder à la contempler pour la saisir et la restituer dans une nouvelle vision….

EXPOSITIONS ET DISTINCTIONS
– 1973, Médaille d’argent de la ville de Bordeaux pour l’illustration du Livre d’Or de Ravensbrück

– 1974, Galerie FERET de Bordeaux, exposition collective.

– 1975, Maison de la Radio de Bordeaux, exposition collective

– Été 1975, participation aux Fouilles Archéologiques à Tel Beer-Sheva, Israël, avec le professeur Y.Yadin

– 1977 Hôpital pédopsychiatrie aux Sables-d’Olonne, élaboration d’un module de jeux en polyester

– 1979, Galerie de la Renaissance à Bordeaux, exposition collective

– 1980, Caveau de la Cité à Carcassonne, exposition personnelle

– 1988, Art Audois à Carcassonne, exposition collective

– 1991, Syndicat du Tourisme à Font-Romeu, exposition personnelle

– 1992, Galerie « Georges Glardon » à Carcassonne, exposition personnelle

– 1992, Hôtel « Y Sembé » à Font-Romeu, exposition Collective

– 1992, « Le Relais de la Diligence » Saint-Denis dans l’Aude, exposition personnelle

– 1993, Galerie « Didier Réby » à Castelnaudary, exposition personnelle

– 1994, Château de Malves en Minervois dans l’Aude, exposition personnelle

– 1995, Espace Citroën à Carcassonne, exposition personnelle

– 1996, Décoration d’un rideau pour la synagogue « Rinat -Yérouchalaïm »
Beer-Sheva. Israël
– 1997, Alliance-Française à Toulouse Midi-Pyrénées, exposition personnelle

– 1998, Galerie « Georges Glardon » à Carcassonne, exposition personnelle

– 1999, Galerie « Claire Diloy » à Toulouse, exposition personnelle

– 2001, Abbaye de Villelongue à Saint-Martin-le-Vieil, exposition personnelle

– 2002, Chapelle dominicaine rue de Verdun Carcassonne, exposition personnelle

– 2003, Chez « Action Copie » à Carcassonne, exposition personnelle

– 2005, Mairie de Narbonne. Exposition personnelle

– 2005, Chapelle dominicaine rue de Verdun Carcassonne, exposition personnelle

– 2005, Participation au Musée des Beaux-arts de Carcassonne à l’exposition
Le Cochon « Portrait(s)d’un séducteur »
– 2006, Abbaye de VILLELONGUE à Saint-Martin-le-Vieil, exposition Personnelle

– 2008, Chapelle dominicaine rue de Verdun Carcassonne, exposition personnelle

– 2008, Abbaye et office du tourisme de Caunes Minervois, exposition personnelle

– 2010, Mutuelle de Carcassonne Franklin Roosevelt, exposition de céramique seulement

– 2010, Création d’une page Facebook Elisabeth Castoriano « La Galerie »

– 2011, La Maison Poétique des Milles Poètes à Narbonne, exposition Personnelle

– 2011, Salle Lagarrigue à Saissac dans l’Aude, exposition Personnelle

– 2012, Marie de Trèbes dans l’Aude « La Galerie des Arts » 54 peintures

– 2012, Syndicat du Tourisme Ville de Trèbes dans l’Aude 6 Céramique

– 2012, Ville de Saissac

– juillet 2012, émission d’un timbre postale de la ville de Saissac

– 2012 : Narbonne chez « A La Flambée de Mille Poètes » 4 mois

– 2013, Via Santé Carcassonne peintures sculpture, exposition personnelle

– 2013, 9ème Salon du MAI DES Z’ARTS à Brugairolles, exposition collective
– 2013 Narbonne Syndicat du Tourisme pour les 100 ans de Charles Trenet, exposition collective

– 2013, Salle Lagarrigue à Saissac dans l’Aude, exposition collective.

– 2014, Pour les 10 ans des « Mai des Z’Arts » à Brugairolles peintures Exposition collective

– 2014, Caunes Minervoi,s les céramiques

– 2014, Salle Lagarrigue à Saissac dans l’Aude, exposition collective

– 2014, Premier prix de poésie section  » Acrostiche » de Charles Trenet le thème  » il faut garder la poésie »

– 2015,  » La Poudrière » à Narbonne avec Arts et lettres Septimaniens, exposition collective

– 2015, Le Somail 9ème Salon de peintures et de sculptures

– 2015, Trèbes « Céramiques » La sculpture dans tous ses états, exposition collective

– 2015, Ludon en Gironde, La maison de la culture « Art Tradition et Nature », juin, Invitée, exposition collective

CONTACT : elisabeth.castoriano@wanadoo.fr

Site : https://www.facebook.com/pages/Elisabeth-Castoriano-La-Galerie-po%C3%A9tique/188270354536762?fref=ts

 

Mona SCHECK

 

mona scheck

Auteure compositeure interprète, Mona Scheck puise en partie son inspiration dans l’univers maritime qu’elle connaît bien.

Après des études de philosophie, elle a été marin-pêcheur pendant une vingtaine d’années en méditerranée tout en écrivant des chansons avec un regard caustique et acidulé sur le monde que l’on nous sert. Elle salue au passage sous forme d’hommage   » ceux qui l’ont poussée à reprendre la barre  » comme Anne Sylvestre, Léo Ferré, Jean Guidoni, avec dans son concert actuel, une mise en musique de Baudelaire et Apollinaire. Cependant, elle compose sa propre couleur  tout simplement et son chemin personnel qui est aussi celui des femmes d’aujourd’hui.

Son parcours atypique l’a éloignée de la scène, mais lors d’un des festivals de Barjac, Jean Ferrat l’a beaucoup encouragée à continuer malgré le culte du jeunisme qui sévit dans la variété française ;

 » On ne demande pas à un romancier, un poète ou un peintre de commencer de créer à dix huit ans  » a-t-elle l’habitude de déclarer quand on lui parle de son âge. «  L’important c’est de réaliser sa vie ses rêves à n’importe quelle escale, à n’importe quelle étape, ne rien lâcher tant qu’il y a un chemin à parcourir « .

CONTACT : www.myspace.com/monascheck

Verino PIEDIGROSSI

BIBLIOGRAPHIE

– L’Odyssée d’un Rital, Autobiographie
– Le berger du Vallon Rouge, Roman
– Le sarbacanier des clairs de lune, Policier
– La triade infernale, Essai
Le violon sous le toit, Roman, Éditions Les auteurs d’Occitanie, 2013

 

Bruno ODILE

bruno odile

BIOGRAPHIE

« Je suis né dans les gouttières du temps, au bord du Rhône, dans les plaines abasourdies par la canicule et fouettées par le Mistral. J’ai grandi entre le chat des cigales et le cerceau des fruitiers en fleur, au cœur d’une colline coiffée d’étoiles et de pins d’Alep.  Adolescent, j’ai abondamment pleuré la mort de Pagnol, ce traite qui m’abandonnait à la chasse solitaire des grives et des bartavelles. Adulte, j’ai croisé le fer avec la réalité sociale et culturelle d’un environnement campagnard  où le pain et le Muscat traînaient sur toutes les bonne tables connues. Mon existence fut troublée par le suicide d’une de mes deux sœurs  et quelques années plus tard par un terrible accident de la route  qui me laissa démuni d’une partie de mes fonctions d’autonomie.

Membre fondateur  de l’UNION des auteurs et des Créateurs d’Art du Languedoc-Roussillon (UACALR), j’occupe actuellement le poste de Président « .

BIBLIOGRAPHIE

L’Amour, ce désastre indispensable, Éditions Abatos, 2015
La main dans le chapeau, Éditions Abatos, 2011
S’il se pouvait… La joie, Éditions Lulu.com, 2015

Le souffle et la sève, French Edition / Paperback, 2016

Le souffle et la sève

Résumé :

Prose poétique. Il était une fois, l’eau, l’air et la lumière. L’eau berceuse de vie, giratoire des migrations cellulaires, grand espace sans frontière blotti sous nos paupières de la première heure jusqu’à la fin des temps. L’air, transparent et insoumis, estuaire de grandes suffocations, de transits ondulatoires, de bouffées d’écriture invisible, table de nuit des espaces illimités où le parfum prend racine. La lumière, force inégalable, épanouissement de la matière, bleuissement des aurores naissantes, flammes palpitantes des aveux et des pardons, des regrets et des passions voltigeuses où nos âmes nues viennent boire à la vie.

* * * * * * * *

Rentrer dans l’écriture de Bruno Odile c’est accepter de se libérer des contingences, des poncifs, de toutes choses qui dénaturent le véritable contact pour découvrir et respirer amplement un souffle de vie profond et vrai. Ainsi, dans  Le souffle et la sève, avec une écriture charnelle au comble du ressenti, l’auteur ajuste peu à peu ses  appréciations personnelles pour nous délivrer le suc de sa démarche identitaire.

Le livre s’ouvre comme un conte : il était une fois l’eau et la lumière. Tout est dit qui va pouvoir se développer, s’expanser, nous entraîner dans la soif de vivre et de comprendre.

Sa réflexion sans limite où un état de grâce providentiel convoque toujours la renaissance pourrait donner à penser que la philosophie est peut-être la clé de l’énigme sans cesse posée par celui qui est né sur les alvéoles du doute, mais la lecture nous conduit au-delà.

 

CONTACT : brunoodile@orange.fr

Site : http://brunoodile.canalblog.com

 

Philippe VIGIER

 

vigier II

 

Pour Daphné

AUTO-INTERVIEW
Pourquoi, Philippe Vigier, avez-vous écrit ce livre Dialogues imaginaires avec les peintres ?

Parce que la peinture a toujours été pour moi une passion. J’ai vraiment commencé à m’intéresser aux peintres, lorsque j’ai vécu à Montmartre ; mon père étant Catalan, je faisais chaque été le voyage Montmartre-Collioure, avec une vénération sans fin. Il est bien évident que Collioure reste pour moi, une plaque tournante de l’art. En tant que plasticien (puisque je pratique la peinture), j’y ai d’ailleurs fait une exposition de tableaux en Juillet 2004, précédée d’une conférence sur La Méditerranée et la Féminité, dans le cadre prestigieux du Château Royal de Collioure.
Ce tome 1 de Dialogues imaginaires avec les peintres, vous l’avez écrit comment ?

Très simplement. Au stylo, dès que la nuit est tombée. C’est un rituel. L’écriture demande du silence, et la nuit est le moment parfait, où les idées se développent. J’ai commencé cet exercice d’écriture par le peintre Pierre Bonnard (dont j’ai souvent parlé lors de conférences : à Pézenas, à Narbonne, au Musée des Beaux-Arts de Carcassonne, etc…), parce que je trouvais qu’il avait admirablement peint son épouse, Marthe. D’ailleurs, l’autre peintre qui a magnifiquement peint sa femme, c’est Dali, bien évidemment. Donc, si vous voulez, mes racines font que je reviens automatiquement vers le pays catalan.

C’est pour cela que dans votre livre, il est question de Matisse et du Musée Picasso de Barcelone ?

Oui. Je ne peux pas éviter le Musée Picasso de Barcelone. C’est un chef-d’œuvre, un mythe. Il se trouve qu’à Montmartre, j’habitais rue Ravignan, juste à côté du Bateau-Lavoir, où Picasso avait peint en 1907, Les demoiselles d’Avignon. Pour Barcelone, il a fait des cadeaux somptueux.

Ce dialogue que vous mettez en scène entre Matisse, Picasso, et vous, est un dialogue très comique sur la création ?

Bien sûr, puisque la création artistique est un jeu. D’abord, la technique du dialogue permet de rentrer de plein-pied dans la réalité du discours ; c’est un acte très théâtral. Matisse et Picasso s’amusent directement devant vos yeux (comme des enfants), sur les couleurs, le choix des thèmes. Il n’y a pas d’interdit. Vous savez, en écrivant, je vais vous faire une confidence, j’avais vraiment l’impression que c’étaient eux qui parlaient ; je n’existais que pour rapporter leurs propos.
Je tiens à dire, que c’est là la force de votre livre : dans l’art du dialogue. On suit le peintre dans sa création, tout à fait différemment. C’est un exercice littéraire passionnant ?

Totalement. En parlant de Paul-Elie Dubois et sa traversée du Hoggar, de Marc Chagall (accompagné de Joseph Delteil), d’Albert Marquet, j’étais toujours transféré dans leur univers sans qu’il y ait de calque. Le dialogue ne permet aucune distance critique. On est toujours dans l’essentiel, dans l’urgence. Et je crois que cette écriture est l’image de notre époque : l’urgence. L’écriture permet ce temps de calme (surtout la nuit), d’approfondissement, de ralentissement. Je remercie tous les peintres de m’avoir aidé dans cette recherche.

Il y a une suite ?

Bien sûr : les tomes 2 et 3 mettent en scène tous les peintres que j’aime et dont je parle en conférences : Matisse au Maroc, la période rose de Picasso, Nicolas de Staël (la liste est longue). Ils m’ont permis de mieux les connaître. Le public, en lisant ces pages, peut s’attendre à des révélations exceptionnelles !
Je vous remercie pour cet entretien.

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Ma prochaine conférence sur Les peintres orientalistes espagnoles, aura lieu le Mercredi 10 Juin à 18h30, à la Mairie de Narbonne, dans la très jolie Salle des Synodes, entrée libre.

La dédicace de mon livre Dialogues imaginaires avec les peintres édité aux Presses Littéraires, au prix de 14 Euros aura lieu le samedi 27 Juin 2015 à partir de 14 heures à Narbonne à la librairie Libellis 43 rue Droite (à cent mètres de la Mairie en montant vers la cathédrale, sur la gauche). J’amènerai tout spécialement des enluminures originales faites sur le manuscrit qui seront mises en vente (comme Tapiès).

Aline SCHANDELONG

Née à Paris (75012) dans une famille sensible aux arts plastiques. Mon grand-père paternel était négociant en tableaux anciens du XIX ème siècle et mon père a fait l’école Boule à Paris, ce qui m’a permis d’étudier le dessin avec un de ses professeurs dès l’adolescence.
Études scientifiques loin des arts à la Fac de Pharmacie toujours à PARIS et une activité de Biologiste à l’Hôpital public.
Retour au travail assidu en  copiant des œuvres de maîtres avec Luc Gaultier au HAVRE et aussi l’aquarelle et le dessin avec Véronique Selk à Narbonne.
– Exposition au C.I.V.L à Narbonne Collectif amical à l’initiative de Me Canet.
– Deux expositions personnelles  dans le cadre des Mille-Poètes en Méditerranée :
Indiens d’AMAZONIE en février 2013
Images de VENISE en octobre 2013
– En 2012 Biennale d’Aquarelle de Narbonne où je n’expose pas mais rencontre de nombreux artistes et participe aux stages.
Depuis je travaille seule souvent motivée par mes amis.
MERCI A TOUS