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Julien BRUN

Je suis né et j’habite à Montpellier. J’écris des nouvelles et des romans.

Passionné de littérature hispanique et latino, je passe son temps entre mon activité de conseiller en aménagement foncier, ma fille, le rugby et ma passion pour l’écriture. Imprégné d’humanisme, révulsé par les inégalités, ma plume acerbe et sentimentale entrevoie et dépeint un monde imparfait bercé d’espoirs.

BIBLIOGRAPHIE

Résumé du roman  » Besoins d’ici, désirs d’ailleurs  » :

 Parution en octobre 2017 chez Cinq Sens Éditions

Barcelone, 2012. L’Espagne est en crise. De retour de la bande de Gaza, Pep, un journaliste expérimenté à la Vanguardia apprend son licenciement. Déboussolé, sa vie s’écroule. De manière insensée, il décide de s’enfuir. Au hasard, il prend le premier billet d’avion pour le premier avion en partance… Direction Santiago du Chili…

A travers seize escales, Pep va découvrir une façon différente de voyager – plus libre et ouverte aux rencontres – qui va exhumer des valeurs enfouies en lui dans l’effervescence du continent de toutes les passions et de tous les possibles. Sa plongée dans des paysages infinis et leurs habitants vont faire émerger son passé et sa relation avec sa fille. Mais aussi le faire s’interroger sur la place de l’homme dans notre société.

Résumé du roman  » Le rocking-chair  » :

 Parution en mars 2018 chez Tapuscrit Editions

Le monde tangue de toute part, l’Homme déchante. Telle une épave à la dérive, en pleine tourmente et secoué par les remous de la vie. Tel un univers étanche où sa destinée peut, à tout moment, sombrer et être engloutie de cruelles désillusions.

Les mots rebondissent, harcèlent et font écho aux anfractuosités de la vie dans l’espoir de croire en un autre chemin, jusqu’au moment où le rocking-chair prend la parole et assiste les protagonistes dans leurs marches singulières vers la confidence…

 

 

 

 

André PAGES

André PAGES fait  partie des Auteurs d’Occitanie.

Il est l’auteur de  » Les mestièrs desapareguts «   et de sept contes, tous bilingues occitan-français.

Les mestièrs desapareguts retrace en  français et en occitan l’histoire de vingt métiers plus ou moins disparus aujourd’hui. Ces artisans et ces marchands aimaient autrefois les rues de nos villages. Les souvenirs d’enfance de l’auteur sont accompagnés par les aquarelles  de Didier Janvier illustrant ces métiers qui, pour la plupart, disparurent vers la fin de seconde guerre mondiale.

André Pages sera présent lors des prochaines Rencontres Culturelles de Capestang et présentera son dernier ouvrage.

Contact :

andre.pages10@orange.fr

Rémy BOYER

Rémy Boyer est né le 05 décembre 1967 à Lézignan-Corbières.

Il est écrivain, poète autodidacte, tombé dans la   » marmite poétique  » depuis son installation en Haute-Corbières.

Publications en revue :

Souffles, Mange-monde, Flammes vives, L’Étrave

Bibliographie

Itinérance Méditerranéenne, aux Éditions Edilivre 2010
Du dehors au dedans, Éditions La Nouvelle-Pléiade 2015
Humbles épousailles à l’orée de la grande bleue, Éditions Complicités,  2017
Histoires,  Éditions du Chant des Muses, à paraître en 2018

Prix

Premier prix du Calligramme des Jeux Floraux Méditerranéens 2014
Mention de prix ville de Montpellier: recueil Sucs de Seuils, 2013 décerné par Les Écrivains Méditerranéens (Souffles), section du livre d’artiste avec Mr Stéphane Castelli

 

 

 

Régine FOURNON

Retraitée. Après une carrière de psychologue à l’Éducation Nationale, elle se consacre  à l’écriture.

BIBLIOGRAPHIE :

  • Mirages et Déraisons, Éditions Edilivre
  • Le diable était dans le miroir, Éditions Edilivre
  • Les Arna-Hakers, Éditions Edilivre
  • De quel temps parlez-vous ?, Éditions Le lys bleu
  • Enamorarse, recueil de poésie
  • De l’amour en écriture, nombre7 éditions

 

Son dernier livre : De l’amour en écriture

A 70 ans Lois a toujours été une grande amoureuse. A l’automne de sa vie elle a rencontré des hommes qui l’ont faite se sentir femme, délicieuse et sensuelle jusqu’au bout de son âge : histoires charnelles, sentimentales, parfois drôles, souvent douloureuses mais toujours magnifiques.

A l’âge que l’on dit troisième, peut-on encore vivre le plaisir, la sexualité dans toutes ses composantes ?
Il semble que seuls les jeunes gens qui découvrent le sentiment amoureux avec son lot de joues rouges, de cœur qui bat trop fort, de désir au paroxysme puissent le vivre. Mais non, Lois, à 70 ans vous affirme que l’on peut le ressentir encore et perdre la tête pour un moment d’extase.

Au-delà des papillons dans le ventre, au-delà du désir brut pour un corps ou un visage il y a l’amour. L’amour c’est respirer ensemble, s’abandonner à l’autre en confiance, entrer en communion avec le compagnon, celui qui quel que soit ton âge te regarde avec une émotion, une tendresse, une complicité qui te rend belle, forte, heureuse.

Les personnages qu’elle décrit, ces hommes qu’elle a désirés ou aimés chacun de manière différente sont-ils vrais ou sublimés, fantasmes ou réalités ? Va savoir…

 

ENTRETIEN AVEC RÉGINE FOURNON : Actualités Viabooks

Régine Fournon : « La passion est dévorante »

Régine Fournon aborde dans son premier roman Mirages et déraisons, les ressorts d’une amitié passionnelle entre deux femmes. Jalousie, emprise, destruction… tous ces sentiments sont abordés sans concession. Rencontre avec une auteure qui sait utiliser le scalpel des mots, pour inciser dans la chair des émotions.

Ce livre est une introspection. Considérez-vous qu’il est une autobiographie, un journal, ou une autofiction ?

Régine Fournon-Gohier : Il fut d’abord un journal, dans lequel je déversais toutes mes émotions. Il est devenu plus tard un récit autobiographique.

Avez-vous ressenti la nécessité d’écrire, peut-être moins dans votre statut d’écrivain que dans la nécessité absolue d’auto-analyse ?

-R.F.-G. : L’écriture permet d’objectiver les situations, de prendre de la distance avec ses émotions. Elle n’est pas une » nécessité » absolue, mais  une manière de sublimer le vécu. Cependant, la forme, le choix des mots, les images font partie de ce qui, me semble- t-il, révèle une disposition à l’écriture, voire, pourquoi pas, un talent.

On sent toute la précarité de l’état d’ « amour » dans votre récit. Pouvez-vous nous en dire plus ?

-R.F.-G. : Je vous dirais que comme dans la chanson « l’amour est enfant de bohème » il est fugace, envahissant, fluctuant. Il nous tombe dessus et nous déstabilise. Mais il donne aussi un sens à la vie et il est à l’origine de moments merveilleux. Le souvenir d’un amour, c’est encore de l’amour ,même si c’est lointain, même si c’est parfois douloureux.

L’homosexualité dans les années 70, arrive bien sûr après 68. Au-delà de votre expérience, l’époque rend-elle cette passion plus difficile ?

-R.F.-G. : Oui, à cette époque-là c’était tabou et les relations entre personnes du même sexe dérangeantes et bannies. Mais mon livre parle de sentiments, sentiments excessifs, amitié passionnée, mais je n’ai jamais envisagé une relation homosexuelle.

La jalousie est le cancer de la relation amoureuse. Elle est dévoratrice. Vous ne vous épargnez pas dans cette description…

-R.F.-G. : Bien sûr, j’ai cruellement souffert de la jalousie. L’amour passionnel est destructeur, dévorateur et peut conduire à la folie. La possessivité est un cancer difficilement maîtrisable, mais révèle le plus souvent une peur panique de l’abandon.

Une affection naissante est faite de pudeur, de pauses et d’avancées ; vous en rendez compte et l’analyse de ces étapes sont au cœur de votre écriture.

-R.F.-G. : Oui, l’amour passe par toutes ces étapes.
Tour à tour compassionnelle, amoureuse, jalouse, destructrice… vous passez par toutes les couleurs des sentiments ; est-ce le passage obligé de toute passion ?
Vivre une passion est un tourbillon de sentiments, de sensations, de contradictions. On passe du ciel et des étoiles, à la frustration et à l’amertume. De la fusion à la solitude morale, du paradis à l’enfer. Passion vient de Pâtir, c’est-à-dire souffrir. Comme dans une drogue, il y a des moments de nirvana et des « descentes » terribles.

On comprend que, pour vous, qu’un amour peut se terminer, quand l’autre comprend qu’il ne vous oubliera jamais…

-R.F.-G. : Est-ce l’autre qui ne m’oubliera jamais ? Ou moi qui garderai ce souvenir ? Un souvenir souvent idéalisé. Pour mon cas personnel, il n’y a pas de rupture au niveau des sentiments : j’aimerai toute ma vie les personnes que j’ai un jour aimées.

Votre livre passe du statut de journal à une réflexion distante sur la nature et la portée de cette relation. Cette mise à distance est-elle nécessaire dans l’écriture ?

-R.F.-G. : L’écriture permet de se libérer. Elle incite à la réflexion sur soi et sur ce que l’on a vécu. Lorsqu’on écrit et que l’on publie, c’est aussi pour être lu. Un livre porte témoignage, beaucoup de personnes peuvent s’y reconnaître. Un jour une personne au bord du suicide a lu mon livre, qui n’était encore qu’un modeste manuscrit. Elle s’y est reconnue et a été sauvée d’elle-même. J’en ai été surprise et très heureuse. C’est peut-être cela qui m’a poussée à écrire.

Site :

http://www.reginefournon-gohier.fr

Mino Dérive

Mino Dérive se nomme Dominique MINANA dans la vraie vie. Elle est porteuse d’une maladie orpheline depuis sa naissance. Elle a 57 ans. Elle n’a rien inventé dans ce livre intitulé  » Gribouillis de pensée « , c’est bien son autobiographie. Elle vit à Montpellier désormais et a repris le militantisme en créant l’association Hactions. Cette association prend la défense des personnes handicapées (quel que soit le handicap, dans tous les domaines : accessibilité, emploi, formation, scolarité, revenus, logement, etc..)

Palmarès du concours 2017

Palmarès des Concours de Poésie et e textes courts AMAVICA du 6 août 2017,

en collaboration avec les Mille-Poètes en Méditerranée de Narbonne

THÈME : l’ «  Occitanie  »

Dans le cadre du concours de Poésie AMAVICA du 6 août 2017, les membres du jury chargés de désigner les lauréats parmi les nombreux textes reçus  se sont réunis pour leur dernière délibération le 18 juillet 2017. Les trois participants primés sont :

  •  Yves MUR (Argeliers)
  •  Erik Lenguin (Montpellier)
  • Myriam Martin (Narbonne)

La remise des Prix s’est déroulée le dimanche 6 août 2017 dans le Château de Capestang   (34310) à 17 heures. Nous nous sommes réunis à l’issue de la cérémonie autour du verre de l’amitié dans la joie et la bonne humeur.

Pour la catégorie Art, Val, auteur de BD, a été primé. Nous lui confions dès à présent la création de l’affiche pour les prochaines Rencontres Culturelles de Capestang.

MAPOOLROC

Né Marc (Eric (second prénom)) PELAT le 2 mai 1972 à Béziers (Hérault, France). Marc est un Artiste autodidacte qui adore utiliser tous les matériaux, il peint, dessine, modèle, sculpte, pratique depuis son plus jeune âge l’art du ZenGribouillage* (un art graphique simple et complexe à la fois). Il adore le symbolisme.

Il a créé un monde parallèle Mapilrect (1) ou il évolue et donne cours à sa création dans se monde ou un grand homme mi mage mi inventeur ingénieux nommé Mapoolroc (2) crée et donne vie à des créations toutes aussi surprenantes les unes que les autres afin d’apporter plein de joie et de magie tous les jours de la vie dans son univers.

Il donne des cours et fait des formations pour faire partager son monde parallèle aux personnes qui le souhaitent ; des enfants en passant par les ados ainsi que les adultes, cette joie qui l’anime est communicative ainsi que sont art qui peut se pratiquer en famille, entre amis, entre voisins, avec des personnes que vous ne connaissez pas, lors d’une œuvre collective, au cours d’une manifestation. Se monde parallèle est un monde positif et en harmonie où la loi d’attraction, et vivre dans l’instant présent, plein de gratitude.

 

D’après MAPOOLROC un artiste c’est un être* qui s’exprime à sa façon (peinture, modelage, sculpture, … tout comme la musique, théâtre, chant, …) avec un langage universel et la frontière des mots disparaît et tous sommes réunis et pouvons ressentir la joie, le positif, et toutes ses émotions agréables qui existent.

*Enfants, ados, adultes, …

MAPOOLROC décrit son art comme réjouissant, enfantin, positif, naïf, fun, …

Il est le créateur de différentes créations :

* Son calendrier des fêtes…

* Les Cœurs d’A

* Les Déménageurs

* Les Monstrodoigts

* Les Allumettes Sauteuses

* Les Oiseaux Papillons du Bonheur

* Les Poissons volants

* Les Bougies Magiques

* Les Allumettes D’anniversaire

* Le Compas d’Or

* La Règle Parallèle

* La Magie des Pierres avec les Alices (araignées)

* Les Boules Végétales

* L’Astroarbre

* Les Arbres et Branches à Crayons

* Les Arbres et Branches à Pinceaux

* Les Tableaux du Bien être et de l’Harmonie

* Les Tableaux AstroArbre, du couple ou de la famille

* Les Electrisés

* Les Liens du Pardon

* La Boites des non-dits

* L’Envol Toi Bien Plus Haut

* Les Hurleurs / Crieurs d’Amour

* Les Utiles

* Les Boulpous

* La Pierre d’Abondance

* Le sachet Aux Vœux

* Les messagères

* Les Eclairs de Génies

* Les Pierres Rieuses

* et bien d’autres encore à découvrir

 

Toutes les personnes pratiquants les ateliers artistiques de MAPOOLROC deviennent des Mapilrectien(ne)s et peuvent s’ils le souhaitent faire découvrir ses arts à tous et surtout en famille, car ses arts sont avant tout un partage, un échange entre parents enfants, ou enseignants enfants ou ados… le but ultime : créer seul ou en groupe, faire découvrir cet univers magique, enfantin, positif, naïf, et fun, comme MAPOOLROC aime le dire. Exposer chez soi ses œuvres, ou les offrir, et faire des expositions lors de créations en école (maternelle, primaire, collège, Lycée, Université) ou comité d’entreprise, Foyer Rural, MJC, Associations, … s’ouvrir à l’art et le pratiqué en tout temps en tous lieux, dans l’harmonie, le respect, la joie, la gratitude.

Toutes créations du monde de Mapilrect doivent porter son nom exact « création du monde de Mapilrect « et mentionner inspirer d’une création de Marc PELAT (MAPOOLROC) afin de respecter se monde et de pouvoir servir de référence pour tous. SEUL MARC PELAT PEUT VENDRE SES CREATIONS, ET LES EXPOSER SOUS LE NOM DE MAPOOLROC.  Vous pouvez créer et Offrir et exposer, mais pas vendre sans l’accord de Marc PELAT, si vous souhaitez faire une exposition sans vente demander à Marc PELAT le droit de le faire et en retour il pourra vous fournir les infos et les descriptifs de chaque création. Elles pourront être misent en valeur sur l’adresse facebook de Marc PELAT afin de faire créer et de diffuser le plus possible le monde de Mapilrect.

 

Si vous suivez un atelier de création avec Marc PELAT vous aurez un document attestant que vous avez suivie cet atelier et donc le droit de faire partager votre savoir a vos proche et amis, mais il est interdit de se faire payer pour cela, l’exclusivité est réservée uniquement à Marc Eric PELAT alias MAPOOLROC. Pour plus d’information demander à Marc PELAT, afin de ne pas violer ses droits d’auteur et de propriété morale et artistique.

 

COMMENT LE CONTACTER :

Via Facebook en laissant un mot et en demandant en amis, tapez dans la barre recherche de Facebook « Marc Créations Capestang »

Via mail : mcreations@laposte.net

 

 

* ZenGribouillage : MAPOOLROC (nom d’artiste de Marc PELAT) pratique l’art du ZenGribouillage, dans le Zen et le pratique sur différents support, papier, toile, verre, végétaux sec ou frais, et sur différents autres matériaux en adaptant à chaque fois son support à une techniques pour ZenGribouillé en toutes liberté sur ses supports.

(1) Mapilrect est une anagramme arrangée de Marc PELAT. C’est le nom de son monde parallèle dans lequel il se réfugie pour créer. Les personnes connaissant sont appelées affectueusement des Mapilrectien (masculin) et des Mapilrectienne (féminin).

(2) Mapoolroc est une anagramme de Marco POLO (surnom souvent donner par ses amis) Mapoolroc est une extension de Marc PELAT dans son monde.

 

BABY Laurianne

Cygne, Éditions  Alter Book, 2017

Née en 1948, j’ai fait une carrière administrative hospitalière. Engagée sur le plan social, j’ai été amenée, au cours de mes activités à réaliser des travaux d’écriture tout au long de ma carrière. Je réside à Soubès près de Lodève. L’intérêt porté à la danse et les voyages entrepris m’ont incitée à écrire une histoire autour de ces pôles d’intérêt.

Courriel :

allau@wanadoo.fr

GROTTI Jean Pierre

Les livres de Jean Pierre Grotti

 

De mère inconnue (2017)

Joseph est mal dans sa peau, partout, toujours… Pourquoi ne peut-il pas accèder à la part de bonheur qui doit forcément lui revenir ?

Son père accaparé par ses vignes l’a délaissé, sa mère l’a abandonné…  et si les racines de son malheur étaient plantées, là, dans cette enfance emplie de solitude ?

Pour sauver son couple, mais aussi, pour se sauver lui-même, il va partir à la recherche de cette maman qu’il n’a jamais connue mais qui hante pourtant chaque instant de sa vie.

Revoir Margot (2016)

Bruno est planté comme un chêne au milieu de ses vignes et de sa terre. Margot est une hirondelle qui voyage de bras en bras, de pays en pays.

Ils se sont aimés il y a presque trente ans. Elle est partie sans un mot un matin de printemps.
Sa fille revient habiter au village, ouvre en grand le château et réveille les démons que Bruno pensait à jamais exorcisés.
Et si Margot retrouvait  à son tour le chemin de Massan ?

Le nouveau monde de Juliette (2015)

Désespérée par un amour malheureux, harcelée par les calomnies des mauvaises langues d’Estignan, Juliette s’est réfugiée auprès de son amie Mélanie en Argentine, un autre monde. Ses forces retrouvées, elle décide de revenir dans son village pour se venger et  pour clore cet épisode douloureux de sa vie.

Le vieil homme qui rêvait d’amour (2014)

Marcel Baral, retraité, vit comme un ours, seul et retiré à Massan, village languedocien, dans lequel il a régné en maître impitoyable en tant que policier municipal. A la suite d’un accident de son fils, il veut changer sa façon d’être, reconquérie l’amour des siens et des autres. Y Parviendra-t-il ?

La vigne de Jean (2013)

La vigne de Jean est à présent constructible. Sa femme, son fils, tout le village le pressent :
– Vite, il faut l’arracher, la vendre le plus cher possible, gagner de l’argent, beaucoup d’argent.
Oui, ce serait raisonnable, mais Jean qui a la tête pleine de l’histoire des Cathares en a assez de voir son pays se transformer en friches.
Lui si discret, si faible peut-il résister ?

Ma dernière année de classe (2012)

Etre seul instituteur pendant trente ans dans une école de hameau n’est pas anodin ; cela relève d’un véritable choix de vie.
Ecrites au jour le jour, ces pages, mélange de descriptions, de mots d’enfants et de réflexions personnelles, sont le témoignage brut des dix derniers mois d’un moment exceptionnel de mon existence, ma dernière année de classe.
Le long chemin de Joaquin l’Espagnol (2011)

Pris dans le tourbillon infernal de la guerre d’Espagne, depuis un petit village de Castilla la Mancha, jusqu’à un autre petit village du Roussillon, voici l’histoire vraie de Joaquin Garcia Sanchez, histoire extraordinaire d’un homme pas tout à fait ordinaire…

Ce sont les mémoires de Joaquin mises au propre par Rose sa fille qui ont incité l’auteur à se lancer dans ce roman haletant et poignant ; superbe !

Le Parisien de Cersan d’Aude (2009)

Jean, le Parisien, a tout vu, tout connu, il a sillonné la planète en tous sens. A Cersan, il espère se retrouver, s’occuper enfin de lui.
Mais peut-on être heureux en vivant à côté des autres ?
Jean parviendra-t-il à trouver sa place dans le monde clos des Cersanais, ces Occitans qu’une longue et violente histoire a rendus courtois mais prudents.

Le vrai prix de Marie (2008/2013)

Manipulation, mensonges…

Tout est en place pour un conte moderne et ombreux : le château, Valérie, la belle et toute puissante reine adulée par sa Cour, Marie, la pure et naïve servante, Jacques enfin, l’homme à tout faire dévoué.
Le pari est lancé, Marie doit cèder. Tout semble joué, pourtant… qui sait comment vont rouler les dés ?

L’étang de Pauline (2007)

Dans un décor de cinéma, l’étang de Bages, deux adolescents se cherchent, s’effleurent, se lient, évoluent ensemble malgré le poids du passé et l’incertitude de l’avenir.
A la fois témoignage sur un monde qui s’éteint et chronique d’une rencontre, réalité et fiction se mêlent harmonieusement dans ce roman qui coule comme une petite musique au rythme des saisons.

Juliette d’Estignan (2007)

Juliette est trop belle, trop libre pour les bonnes âmes et les mauvaises langues de ce petit village du Languedoc. Brisée, humiliée, elle va pourtant redresser la tête grâce à une belle histoire d’amitié avec… sa rivale.
Histoire d’amour sûrement mais aussi peinture lucide d’une communauté vigneronne Juliette d’Estignan est un vrai grand roman de terroir.

Le figuier de Paul (2006)

Ernest est bossu, ivrogne, mal aimé, puceau mais c’est un homme debout qui raconte à sa façon la vie de la famille Molinier et, à travers elle, celle d’un village du Languedoc des années 60 à nos jours.
Une fresque riche à la fois joyeuse et émouvante mais aussi le long cheminement d’un homme vers l’acceptation de soi-même, c’est à dire, peut-être, vers la sagesse.