BIBLIOGRAPHIE
– L’Odyssée d’un Rital, Autobiographie
– Le berger du Vallon Rouge, Roman
– Le sarbacanier des clairs de lune, Policier
– La triade infernale, Essai
– Le violon sous le toit, Roman, Éditions Les auteurs d’Occitanie, 2013
BIBLIOGRAPHIE
– L’Odyssée d’un Rital, Autobiographie
– Le berger du Vallon Rouge, Roman
– Le sarbacanier des clairs de lune, Policier
– La triade infernale, Essai
– Le violon sous le toit, Roman, Éditions Les auteurs d’Occitanie, 2013

BIOGRAPHIE
« Je suis né dans les gouttières du temps, au bord du Rhône, dans les plaines abasourdies par la canicule et fouettées par le Mistral. J’ai grandi entre le chat des cigales et le cerceau des fruitiers en fleur, au cœur d’une colline coiffée d’étoiles et de pins d’Alep. Adolescent, j’ai abondamment pleuré la mort de Pagnol, ce traite qui m’abandonnait à la chasse solitaire des grives et des bartavelles. Adulte, j’ai croisé le fer avec la réalité sociale et culturelle d’un environnement campagnard où le pain et le Muscat traînaient sur toutes les bonne tables connues. Mon existence fut troublée par le suicide d’une de mes deux sœurs et quelques années plus tard par un terrible accident de la route qui me laissa démuni d’une partie de mes fonctions d’autonomie.
Membre fondateur de l’UNION des auteurs et des Créateurs d’Art du Languedoc-Roussillon (UACALR), j’occupe actuellement le poste de Président « .
BIBLIOGRAPHIE
– L’Amour, ce désastre indispensable, Éditions Abatos, 2015
– La main dans le chapeau, Éditions Abatos, 2011
– S’il se pouvait… La joie, Éditions Lulu.com, 2015
– Le souffle et la sève, French Edition / Paperback, 2016
Le souffle et la sève
Résumé :
Prose poétique. Il était une fois, l’eau, l’air et la lumière. L’eau berceuse de vie, giratoire des migrations cellulaires, grand espace sans frontière blotti sous nos paupières de la première heure jusqu’à la fin des temps. L’air, transparent et insoumis, estuaire de grandes suffocations, de transits ondulatoires, de bouffées d’écriture invisible, table de nuit des espaces illimités où le parfum prend racine. La lumière, force inégalable, épanouissement de la matière, bleuissement des aurores naissantes, flammes palpitantes des aveux et des pardons, des regrets et des passions voltigeuses où nos âmes nues viennent boire à la vie.
* * * * * * * *
Rentrer dans l’écriture de Bruno Odile c’est accepter de se libérer des contingences, des poncifs, de toutes choses qui dénaturent le véritable contact pour découvrir et respirer amplement un souffle de vie profond et vrai. Ainsi, dans Le souffle et la sève, avec une écriture charnelle au comble du ressenti, l’auteur ajuste peu à peu ses appréciations personnelles pour nous délivrer le suc de sa démarche identitaire.
Le livre s’ouvre comme un conte : il était une fois l’eau et la lumière. Tout est dit qui va pouvoir se développer, s’expanser, nous entraîner dans la soif de vivre et de comprendre.
Sa réflexion sans limite où un état de grâce providentiel convoque toujours la renaissance pourrait donner à penser que la philosophie est peut-être la clé de l’énigme sans cesse posée par celui qui est né sur les alvéoles du doute, mais la lecture nous conduit au-delà.
CONTACT : brunoodile@orange.fr
Site : http://brunoodile.canalblog.com

Romancier et auteur de nombreux ouvrages consacrés au cinéma
Membre sociétaire de la SGDL ( Société des Gens De Lettres)
Membre et Administrateur de l’association ADA (Autour Des Auteurs en Languedoc-Roussillon)
Pour Daphné
AUTO-INTERVIEW
Pourquoi, Philippe Vigier, avez-vous écrit ce livre Dialogues imaginaires avec les peintres ?
Parce que la peinture a toujours été pour moi une passion. J’ai vraiment commencé à m’intéresser aux peintres, lorsque j’ai vécu à Montmartre ; mon père étant Catalan, je faisais chaque été le voyage Montmartre-Collioure, avec une vénération sans fin. Il est bien évident que Collioure reste pour moi, une plaque tournante de l’art. En tant que plasticien (puisque je pratique la peinture), j’y ai d’ailleurs fait une exposition de tableaux en Juillet 2004, précédée d’une conférence sur La Méditerranée et la Féminité, dans le cadre prestigieux du Château Royal de Collioure.
Ce tome 1 de Dialogues imaginaires avec les peintres, vous l’avez écrit comment ?
Très simplement. Au stylo, dès que la nuit est tombée. C’est un rituel. L’écriture demande du silence, et la nuit est le moment parfait, où les idées se développent. J’ai commencé cet exercice d’écriture par le peintre Pierre Bonnard (dont j’ai souvent parlé lors de conférences : à Pézenas, à Narbonne, au Musée des Beaux-Arts de Carcassonne, etc…), parce que je trouvais qu’il avait admirablement peint son épouse, Marthe. D’ailleurs, l’autre peintre qui a magnifiquement peint sa femme, c’est Dali, bien évidemment. Donc, si vous voulez, mes racines font que je reviens automatiquement vers le pays catalan.
C’est pour cela que dans votre livre, il est question de Matisse et du Musée Picasso de Barcelone ?
Oui. Je ne peux pas éviter le Musée Picasso de Barcelone. C’est un chef-d’œuvre, un mythe. Il se trouve qu’à Montmartre, j’habitais rue Ravignan, juste à côté du Bateau-Lavoir, où Picasso avait peint en 1907, Les demoiselles d’Avignon. Pour Barcelone, il a fait des cadeaux somptueux.
Ce dialogue que vous mettez en scène entre Matisse, Picasso, et vous, est un dialogue très comique sur la création ?
Bien sûr, puisque la création artistique est un jeu. D’abord, la technique du dialogue permet de rentrer de plein-pied dans la réalité du discours ; c’est un acte très théâtral. Matisse et Picasso s’amusent directement devant vos yeux (comme des enfants), sur les couleurs, le choix des thèmes. Il n’y a pas d’interdit. Vous savez, en écrivant, je vais vous faire une confidence, j’avais vraiment l’impression que c’étaient eux qui parlaient ; je n’existais que pour rapporter leurs propos.
Je tiens à dire, que c’est là la force de votre livre : dans l’art du dialogue. On suit le peintre dans sa création, tout à fait différemment. C’est un exercice littéraire passionnant ?
Totalement. En parlant de Paul-Elie Dubois et sa traversée du Hoggar, de Marc Chagall (accompagné de Joseph Delteil), d’Albert Marquet, j’étais toujours transféré dans leur univers sans qu’il y ait de calque. Le dialogue ne permet aucune distance critique. On est toujours dans l’essentiel, dans l’urgence. Et je crois que cette écriture est l’image de notre époque : l’urgence. L’écriture permet ce temps de calme (surtout la nuit), d’approfondissement, de ralentissement. Je remercie tous les peintres de m’avoir aidé dans cette recherche.
Il y a une suite ?
Bien sûr : les tomes 2 et 3 mettent en scène tous les peintres que j’aime et dont je parle en conférences : Matisse au Maroc, la période rose de Picasso, Nicolas de Staël (la liste est longue). Ils m’ont permis de mieux les connaître. Le public, en lisant ces pages, peut s’attendre à des révélations exceptionnelles !
Je vous remercie pour cet entretien.
* * * * * * * * * *
Ma prochaine conférence sur Les peintres orientalistes espagnoles, aura lieu le Mercredi 10 Juin à 18h30, à la Mairie de Narbonne, dans la très jolie Salle des Synodes, entrée libre.
La dédicace de mon livre Dialogues imaginaires avec les peintres édité aux Presses Littéraires, au prix de 14 Euros aura lieu le samedi 27 Juin 2015 à partir de 14 heures à Narbonne à la librairie Libellis 43 rue Droite (à cent mètres de la Mairie en montant vers la cathédrale, sur la gauche). J’amènerai tout spécialement des enluminures originales faites sur le manuscrit qui seront mises en vente (comme Tapiès).

I. BIOGRAPHIE
Simone Salgas : de soie et de soif
» Simone Salgas écrit, l’oreille tendue vers une réalité sombre. Elle la met en mots, en humour. en amour. Parfois dans une dureté blanche comme les cailloux de sa garrigue. Elle est fille du soleil. Et de la Méditerranée. Avec une liberté de corps et de cœuer revendiquée, elle dit : ‘ un pays c’est comme un amant, une magnifique histoire de peau. Un regard qui ne se lasse jamais. Un éblouissement et un accord permanent…’
Elle joue avec les mots de l’éros, ouvre ses secrets. Ici le sexe est ‘de soie et de soif’. Sans tabou ni pathos, juste pour le plaisir de l’amour, elle ouvre à l’imaginaire. »
Hubert Beauchamp
*******
» Simone, elle m’a dit cette chose fondamentale : enfant, elle était fascinée d’observer le regard lumineux de plénitude de son père, sortant de sa chambre où il venait d’écrire. Ecrire, encore et encore, il en oubliait les tracas du quotidien… Ainsi, dès son plus jeune âge, elle sut qu’elle écrirait, que c’était ainsi qu’elle voulait vivre.
Elle ne se préoccupe pas des apparences. Elle a la beauté sauvage, brute ; elle est femme, surtout, une femme au regard malicieux et aux attitudes lascives de celle qui est aimée. Elle habite pleinement son corps, sa peau qui lui a fait connaître mille enchantements. Elle dit vivre de cela, de ces choses triviales qui pour elle, sont notre vérité. Elle écrit des personnages qui mangent, boivent, dorment, dont on apprend les tracasseries du corps, que l’on touche, que l’on sent, dont on connaît les replis de peau. Ils nous émeuvent dans un corps à corps où les mots nous frôlent, nous enlacent, nous attrapent.
Elle aime la couleur, le vert surtout l’accompagne au quotidien. Elle se nourrit de sa lumière, celle de la nature qui habite son œuvre. On y retrouve tous les parfums de la garrigue et du vent. Dans ses tenues, le vert brille de nuances étonnantes, d’harmoniques multiples. Elle écrit, petits bouts assemblés, tissés dans tous les sens. Elle découpe, elle colle et tout prend forme quand elle finit par s’y retrouver après s’être longuement égarée, comme dans ses longues promenades sur les chemins de terre.
Elle se réfugie souvent dans son moulin, seule, entre étangs et collines. Il est battu par le vent dont elle capte la force, l’énergie de vie qui déborde dans son œuvre. C’est cela, dans chaque petite chose qu’elle attrape, il y a une grandeur qui nous saisit, nous transporte. Elle décuple la vie et l’on s’étonne que cela soit si simple.
Entre elle et les autres, il y a l’écriture. C’est une amie fidèle, au contact jovial, mais l’écriture est sa priorité. Elle ne s’encombre pas de politesses si ses personnages occupent son quotidien. Ce serait dommage et inutile de lui en vouloir, si elle n’est pas disponible quand on le souhaite. Elle aime marcher, elle aime le mouvement, elle éprouve les choses. Elle dit que c’est avant tout ce qu’elle va en écrire qui l’intéresse. Son écriture avance avec elle, dans les trains, surtout, où elle est transportée jusqu’à l’incandescence. Et si l’on partage un de ses voyages, on sait que l’on aura aussi nourri quelques lignes à venir… »
Odile ESTIVAL – le 7 avril 2015
*******
Simone SALGAS, biographie subjective et suggestive
Nom : Salgas
Prénom : Simone
Sexe : appeal
Née: oui ! Un vendredi (jour de Vénus), un matin de printemps (saison des amours), à Narbonne dans l’Aude dans le sud du sud de la France, rue Descartes et, comme lui, elle traite du monde et de la lumière. Elle pense ET elle est.
Signes particuliers :
Déteste la viande et le vent du nord. Aime le soleil et la mer sans pudeur ni hypocrisie, la Corbière et l’Espagne, la garrigue sous le pieds nu et l’odeur des pins, la liberté, l’amour, les fruits, les légumes et le vin bourru.
Activité principale :
Écrit, écrit encore, écrit toujours. Pour elle, pour les enfants, pour les adultes et pour tous les autres. Romans, nouvelles, théâtre et poésie sans limite.
Hubert Beauchamp
II. INTERVENTIONS
– Festival international de poésie, Toulouse, Minerve, Bordeaux
– Colloque international : Femmes écrivant en Méditerranée, Montpellier
– Les tombées de la nuit, Rennes
– forum : De la lecture à l’écriture, Paris
– Écrire en province, Université le Mirail Toulouse
– Université d’été : Du brouillon de l’élève au manuscrit de l’écrivain, Grenoble
– Université d’été : Les techniques de l’écriture littéraire, Toulon
– Casa Velázquez, Madrid (bourse d’aide à la création)
– Femmes et créativité, Montpellier
– Ateliers d’écriture adultes, enfants, lectures, interventions dans les collèges : Toulon, Perpignan, Carcassonne, Bordeaux, Lyon, Chili, République tchèque…
– Femmes immigrées : écrire ensemble
– Dérives : Ecriture-peinture, Elne
– Double miroir : Photo-écriture, Montpellier…
III. BIOGRAPHIE
Romans
– Le goupil, Éditions Julliard, 1969, réédition Éditions Lacour, 2011
– La toupie, Éditions Julliard, 1970
– L’Heure bleue, Éditions Cepadues, 1979
– Lilou, Pocket Junior, 1999 (épuisé)
– La Laminaire, Éditions Les deux encres, 2004
– Traverses, Éditions Lacour, 2007
– Lilou prend ses distances, Éditions Encre bleue/Basse vision, 2009
– Lilou, suivi de Lilou prend ses distances, Éditions 19, 2011
– L’Orthensia, Éditions TDO, 2014
Poésie
– Folles saisons, Éditions Grassin, 1959
– Atalaya del sol, Éditions Grassin, Prix de la poésie inédite, 1960
– Au large de la terre, Éditions Recherches graphiques-Fernand Gautier, 1974
– Pour espacer l’espace, Éditions Recherches graphiques, 1991
– Agenda en libertés, Éditions Les temps d’art graphique, 2005
– Intérieur mer, Éditions Poètes à vos plumes , réédition Éditions Les Verbieuses, 2010
– Mer, Éditions Les temps d’art graphique, 2011
– L’alphabet en goguette, Éditions Les temps d’art graphique, 2011
Nouvelles
– Cathédrales de la mort, Éditions Recherches graphiques, épuisé
– Le silence a la parole, Éditions 19, 2011
– Elle regarde, Éditions 19, 2014
Contes
– Histoire du crayon de bois, Éditions Fernand-Gautier, 1970, réédition Éditions Les temps d’art graphique, 2007
– Le Z, Éditions Les Verbieuses, 2009
– Dis donc dindon, Éditions Les temps d’art graphique, 2010
– Bégonia, le chat, Éditions Les Verbieuses, 2010
– Marie Chocolat, Éditions Les temps d’art graphique, 2011
– Fourmis et compagnie, Éditions Les temps d’art graphique, 2011
– Cuisine coquine, Éditions Les temps d’art graphique, 2011
– Dans mon cartable, Éditions Asile poétique, 2011
Théâtre
– La Diva-gueuse, Éditions Les Verbieuses, 2012
– Mater ego, Éditions Les Verbieuses, 2012
– Mégashop, Éditions Les Verbieuses, 2012
Sabfak ( née Sabah El fakir ) le 28 juillet 1967 dans un pays lointain où le soleil est roi.
L’auteure qui est peu bavarde à toujours préféré l’écriture à la parole d’ailleurs son maître mot est que les paroles s’envolent alors que les écrits restent.
Grande admiratrice de Martin Luther King, Nelson Mandela, Gandhi et d’autres hommes courageux qui ont marqué l’histoire par leurs combats pour la justice et l’égalité des êtres humains dans ce monde injuste.
Son existence fut troublée et chamboulée par la disparition brutale et inexpliquée de son amie Cassandra, pour laquelle elle a engagé un véritable bras de fer pour faire triompher la vérité.
Sabfak est trésorière principale et Co-fondatrice du collectif des Auteurs du Languedoc Roussillon avec Raymond Matabosch, Bruno Odile et Patricia Bialès, le collectif est aujourd’hui riche de nombreux auteurs et écrivains de toute catégorie.
Dernier livre paru :
Cassandra mortelle vérité, éditeur : Lulu.com, mars 2015
Genre littéraire : Fiction

Marie-Andrée BALBASTRE, Auteur compositeur interprète
Marie-Andrée BALBASTRE doit son amour des mots et de la poésie à son parcours littéraire mais aussi à son attachement à la nature.
Née à Carcassonne d’une famille de viticulteurs, elle est titulaire d’une maîtrise de Lettres classiques. Après avoir enseigné quelques années, elle se tourne vers la chanson, enregistre 4 albums de ces compositions dont le dernier « Itinérance » composé au moment où cette voyageuse qui a vécu en région parisienne et dans le nord, revient s’installer définitivement au pays de ses ancêtres Audois, à Conques-sur-Orbiel. L’amour de la terre natale se conjugue avec le thème du voyage, la cadence du train, des horizons et des ailleurs découverts. C’est tout simplement la vie qui est « Itinérance », la vie que l’on traverse de bout en bout, bon gré, mal gré….
Il fallait, à cette ancienne prof de lettres, laisser une trace écrite de son attachement à ses racines paysannes : le recueil poétique « La terre ce jardin » publié aux « Auteurs d’Occitanie », est un hommage à la création, une invitation à re-garder, sauve-garder notre planète. Les aquarelles de Marie-Noëlle Berson soulignent la beauté et la fragilité de la nature.
Les mots, la musique, la voix forment un tout dans l’univers de la chanteuse : ils offrent une pause, le temps que naisse un rêve, loin des bruits discordants de la vie d’aujourd’hui, pour nous entrainer plus loin, sur d’autres chemins, vers d’autres lumières.
Site : www.mabalbastre.fr

Entretien avec Monique-Marie IHRY
* * * * * * *
Monique-Marie IHRY, qui êtes-vous ?
Je suis peintre, illustratrice et poète. J’écris également des romans. Le dernier a pour titre Les vieux maudits ou La dictature du hérisson. J’ai également publié 11 recueils de poésie. Certains de mes poèmes rassemblés, traduits et commentés en arabe par le critique littéraire tunisien Mohamed Salah Ben Amor constituent le premier tome de l’anthologie poétique bilingue franco-arabe Figures poétiques du monde, la poète Monique-Marie Ihry.
Je fais partie de la SCAM (Société Civile des Auteurs Multimédia). Je fais partie également de la liste des auteurs du Languedoc-Roussillon.
Mes derniers prix de poésie : 1er Prix de poésie libre et 1er Prix de prose poétique (Narbonne 2017), 1er Prix de poésie libérée (Frontignan).
J’ai exposé ma peinture dans de nombreuses régions de France. J’ai par ailleurs été récompensée à plusieurs reprises, notamment une Palme d’or (2013) et Palme d’argent (2014) à Artoulouse, un 2ème prix de peinture figurative au Salon des artistes de Thau (2014), … Je suis pour l’essentiel portraitiste et j’effectue en outre des portraits à la demande. Je sais cependant m’adapter à d’autres thèmes.
Quelles sont vos passions ?
Écrire, peindre, apprendre à la source intarissable de la vie.
Votre inspiration ?
Quel est votre cursus ?
J’ai fait des études de Droit et d’Espagnol. J’ai ensuite été rédactrice et enseignante durant de nombreuses années.
Vos projets ?
Du 11 au 13 mars 2018, j’ai eu ce grand honneur de représenter la France au Festival International d’Arts et de Littérature de Bou Salem en Tunisie et je me suis vue décerner un prix pour récompenser ma poésie.
Pour ce qui est de mes activités d’illustratrice, à peine terminées les illustrations d’une anthologie poétique féminine ( » Erotica « , Éditions Atlande, 2016) que j’ai eu l’honneur de présenter au Salon du livre de Paris en mars 2017, puis celles d’un recueil de poésie pour enfants (« Z’animaux à gogo « ), je peaufine plusieurs dessins illustrant un conte pour enfants. Par ailleurs j’ai exposé 2 mois consécutifs à Narbonne (mars-avril 2017). Plusieurs de mes toiles sont exposées à Sommières (Gard) à la galerie Art Fresque Povera. Dernière exposition sur le thème de l’ « Occitanie » 2 juillet au 3 septembre 2017 au caveau du Domaine Moulin Gimié à Capestang (34310).
Prochaine exposition en novembre et décembre 2018 à la Galerie Art Fresque Povera de Sommières (Gard).
Vos techniques ?
Elles dépendent à vrai dire du projet en cours. Cela peut être l’emploi des pastels, de l’huile, de l’aquarelle ou bien encore de l’encre de Chine.
BIBLIOGRAPHIE
Recueils de poésie
Romans
Illustration
Ouvrage dédié à Monique-Marie Ihry : étude critique de sa poésie
LISTE DES PRIX DE POÉSIE ET DISTINCTIONS
– 2018, 1er Prix de poésie libérée (Frontignan)
– 2018, Récompensée au 32ème Festival International de Printemps, Littérature et Arts de Bousalem (Tunisie, 11-13 mars 2018) pour sa poésie
– 2018, Poésie néoclassique : Mention, Lettres et Arts Septimaniens, Prix de la Ville de Narbonne
-2018, Prose poétique : Mention, Prix de la Ville de Narbonne
– 2018, Admission sur la liste des auteurs, traducteurs et illustrateurs du Languedoc-Roussillon
– 2017, 1er Prix de Prose poétique (Narbonne)
-2017, 1er Prix de poésie rimée (Narbonne)
– 2017, 1er Prix de Poésie Libre, (Frontignan)
– 2017, 3ème Prix de Poésie Libre (Frontignan)
– 2016, 1er Prix de Prose poétique (Frontignan), 2ème Prix de Poésie Néoclassique (Frontignan)
-2015, Prix d’honneur, poésie libre (Carcassonne)
– 2015, 3ème Prix de prose poétique (Narbonne)
– 2014, Enregistrement de 3 émissions de radio sur RCF (Carcassonne) en tant qu’auteure et peintre
– 2014, 2ème Prix de Prose poétique (Frontignan)
– 2014, 2ème Prix de Poésie néoclassique (Frontignan)
– 2014, 3ème Prix de Prose poétique (Narbonne)
– 2014, Palme d’Argent au Concours International ARTOULOUSE pour sa toile « Ophélia »
– 2014, 2ème Prix de Peinture figurative au Salon des Artistes de Thau pour ma toile « Flor »
– 2013, 3ème Prix de Prose poétique (Frontignan)
– 2013, Invitée du Journal de Midi sur France3 Languedoc-Roussillon le 5 décembre 2013 pour présenter son roman Mythomania sur le Net
– 2013, 3ème Prix de Prose poétique (Narbonne)
– 2013, Palme d’Or au Concours International ARTOULOUSE pour sa toile « Sensualité »
– 2012, 3ème Prix de Prose poétique au concours Mille-Poètes en Méditerranée (Narbonne)
– 2010, Prix spécial du jury pour deux poèmes au concours de poésie Les mots pour le dire et lue par Claude Vernick alors délégué de la région Midi-Pyrénées de la Société des Poètes et Artistes de France.
– 2010, Membre active de la SCAM (Société Civile des Auteurs Multimedia)
– Major de promotion en Maîtrise Arts, Lettres, Langues, Mention Langues et Cultures Étrangères, Mention Espagnol (avec la Mention Bien)
– 2010, » L’ombre de la lyre « , poème mis en musique sur France Musique dans le cadre des Contes du jour et de la nuit sur une musique de Georges Delerue sur proposition de Véronique Sauger.
– 1981, Prix du meilleur étudiant en Droit
CONTACT :
mm.ihry@gmail.com
BLOG :
www.aujardindesmots.unblog.fr
SITE de peinture :
www.monique-marie-ihry.fr
BIOGRAPHIE
André Gardies est né à Nîmes (Gard). Après des études secondaires à l’Ecole Normale d’Instituteurs de sa ville natale, et supérieures à l’Université de Montpellier, il est d’abord professeur de Lettres, avant de devenir, plusieurs années plus tard Professeur d’Université en études cinématographiques à l’université Lumière-Lyon2, au terme d’un parcours qui l’a mené successivement à Niort, à Orléans, à l’université d’Abidjan puis à celle de Strasbourg.
Réalise quelques courts-métrages de fiction (en 16 mm), puis se consacre à la réflexion et à la recherche sur le cinéma. Il est l’auteur d’une douzaine d’ouvrages spécialisés ou didactiques et a dirigé une demi-douzaine d’ouvrages collectifs.
A l’occasion du Centenaire de l’invention du cinéma, il co-réalise (en tant que scénariste et expert scientifique) un CDRom sur les frères Lumière : Le cinéma des Lumière, co-produit par l’agence CAPA. Prix Roberval en 1997.
Depuis douze ans il se consacre entièrement à l’écriture littéraire. Après Derrière les ponts récit d’inspiration autobiographique qui fait revivre le début des années 50 (publié en 2002 aux éditions Climats), il a publié en 2005 Les années de cendres où se lit, en filigrane de la terre des Cévennes, la quête d’une mère (Editions de Paris/Max Chaleil), en juin 2006 Le monde de Juliette (Editions de Paris/Max Chaleil) où, dans l’alternance de deux voix, se recrée, peu à peu et en dépit des difficultés de la mémoire, toute une vie d’émotions et en mai 2008 Le visiteur solitaire (Editions de Paris/Max Chaleil), véritable roman noir rural comme il a été dit par la critique. Il est membre sociétaire de la Société des Gens de Lettres
BIBLIOGRAPHIE
Romans et récits :
– Derrière les ponts, collection « Les Belles saisons » dirigée par Marie Rouanet, Éditions Climats, Montpellier, 2002.
– Les années de cendres, collection « Littérature », Les Editions de Paris /Max Chaleil, Paris, Janvier 2005, Réédition en janvier 2014 aux Éditions Lucien Souny (format poche)
– Le monde de Juliette, collection « Littérature », Les Éditions de Paris/Max Chaleil, Paris, mai 2006
– Le visiteur solitaire, collection « Littérature », Les Éditions de Paris/Max Chaleil, Paris, mai 2008
– Le train sous la neige, Éditions de la Mouette, Sète, mai 2011
– Le vieux Cévenol et l’enfant, Éditions du Rouergue, Arles, mars 2013.
– La Source du diable, TDO éditions, « collection noire », Pollestres (66), novembre 2014.
Nouvelles :
– L’arbre tentateur, in Le Croquant, revue littéraire, n°3, été 1988, Maison Roger Vailland, Meillonas.
– Claires fontaines, in Visas pour le Gard, sous la direction de Serge Velay, diffusion Diable Vauvert, Vauvert (30), 2006
– La fille au drapeau, in Mai 68, ouvrage collectif réalisé par ADA, mai 2008 (Cap Béar éditions).
– Divers textes dans le Magazine en ligne de l’Association ADA.
Ouvrages spécialisés en cinéma :
– Cinéma d’aujourd’hui, Alain Robbe-Grillet , Seghers, , 1972
– Approche du récit filmique , Albatros, 1980
– Le cinéma de Robbe-Grillet , Albatros, 1983
– Regards sur le cinéma négro-africain (avec Pierre Haffner), OCIC, Bruxelles, 1987
– Cinéma d’Afrique noire francophone, l’espace-miroir , L’Harmattan, 1989
– 200 mots-clés de la théorie du cinéma (avec Jean Bessalel), Cerf, « 7° Art », 1992
– L’espace au cinéma, Méridiens-Klincksieck, 1993
– Le récit filmique, Hachette, « Contours littéraires », 1993
– Le conteur de l’ombre, essais sur la narration filmique, Aleas, Lyon, 1999
– Décrire à l’écran, Méridiens-Klincksieck/Nota Bene, Paris/Montréal, 1999
– « Yeelen » de Souleymane Cissé, Scéren/Cndp, 2011 (livret pédagogique sur le film au programme de l’option cinéma du bac)
CD-Rom :
– Le cinéma des Lumière (avec Michel Agnola et Christian Straboni), CAPA prod., RMN, Microfolie’s, MACT., 1996. Prix Roberval 1997
* * * * * * * * * *
Dernier livre paru : La Source du diable, Roman noir, TDO éditions, nov. 2014, genre littéraire :
Autres Titres : Le Vieux Cévenol et l’enfant , Éditions du Rouergue, 2013
Les Années de cendres, Éditions Lucien Souny, réed Poche, 2014
CONTACT : agardies@wanadoo.fr
Site : http://www.andregardies.com