Archives de catégorie : Inscrits

Élisabeth CASTORIANO

élisabeth

Peintre, céramiste et poète

BIOGRAPHIE
Née à Talence prés de Bordeaux , sa jeunesse s’est passée dans les souvenirs des Sépharades du Levant , dont sa famille est originaire, Son inspiration puise dans ces pays de soleil, de sables et de rêves lointains….La Grèce, La Turquie, Israël…. « Elève des Beaux Arts de Bordeaux de 1968 à 1975 , j’ai affinée mon expression culturelle ma vision onirique de ces paysages éloignée « .
Son ancrage dans le pays du Languedoc fut attiré par son atmosphère sauvage parcourues d’ influences diverses .Éblouie par les forces variées de cette contrée…
Son dessin est sobre, ses formes structurées et géométriques , ses atmosphères paisibles et calmes
Pour peindre dit Élisabeth , il faut être dans la force de l’étonnement , être en éveille, demeurer dans l’observation du monde…comprendre la nature, s’attarder à la contempler pour la saisir et la restituer dans une nouvelle vision….

EXPOSITIONS ET DISTINCTIONS
– 1973, Médaille d’argent de la ville de Bordeaux pour l’illustration du Livre d’Or de Ravensbrück

– 1974, Galerie FERET de Bordeaux, exposition collective.

– 1975, Maison de la Radio de Bordeaux, exposition collective

– Été 1975, participation aux Fouilles Archéologiques à Tel Beer-Sheva, Israël, avec le professeur Y.Yadin

– 1977 Hôpital pédopsychiatrie aux Sables-d’Olonne, élaboration d’un module de jeux en polyester

– 1979, Galerie de la Renaissance à Bordeaux, exposition collective

– 1980, Caveau de la Cité à Carcassonne, exposition personnelle

– 1988, Art Audois à Carcassonne, exposition collective

– 1991, Syndicat du Tourisme à Font-Romeu, exposition personnelle

– 1992, Galerie « Georges Glardon » à Carcassonne, exposition personnelle

– 1992, Hôtel « Y Sembé » à Font-Romeu, exposition Collective

– 1992, « Le Relais de la Diligence » Saint-Denis dans l’Aude, exposition personnelle

– 1993, Galerie « Didier Réby » à Castelnaudary, exposition personnelle

– 1994, Château de Malves en Minervois dans l’Aude, exposition personnelle

– 1995, Espace Citroën à Carcassonne, exposition personnelle

– 1996, Décoration d’un rideau pour la synagogue « Rinat -Yérouchalaïm »
Beer-Sheva. Israël
– 1997, Alliance-Française à Toulouse Midi-Pyrénées, exposition personnelle

– 1998, Galerie « Georges Glardon » à Carcassonne, exposition personnelle

– 1999, Galerie « Claire Diloy » à Toulouse, exposition personnelle

– 2001, Abbaye de Villelongue à Saint-Martin-le-Vieil, exposition personnelle

– 2002, Chapelle dominicaine rue de Verdun Carcassonne, exposition personnelle

– 2003, Chez « Action Copie » à Carcassonne, exposition personnelle

– 2005, Mairie de Narbonne. Exposition personnelle

– 2005, Chapelle dominicaine rue de Verdun Carcassonne, exposition personnelle

– 2005, Participation au Musée des Beaux-arts de Carcassonne à l’exposition
Le Cochon « Portrait(s)d’un séducteur »
– 2006, Abbaye de VILLELONGUE à Saint-Martin-le-Vieil, exposition Personnelle

– 2008, Chapelle dominicaine rue de Verdun Carcassonne, exposition personnelle

– 2008, Abbaye et office du tourisme de Caunes Minervois, exposition personnelle

– 2010, Mutuelle de Carcassonne Franklin Roosevelt, exposition de céramique seulement

– 2010, Création d’une page Facebook Elisabeth Castoriano « La Galerie »

– 2011, La Maison Poétique des Milles Poètes à Narbonne, exposition Personnelle

– 2011, Salle Lagarrigue à Saissac dans l’Aude, exposition Personnelle

– 2012, Marie de Trèbes dans l’Aude « La Galerie des Arts » 54 peintures

– 2012, Syndicat du Tourisme Ville de Trèbes dans l’Aude 6 Céramique

– 2012, Ville de Saissac

– juillet 2012, émission d’un timbre postale de la ville de Saissac

– 2012 : Narbonne chez « A La Flambée de Mille Poètes » 4 mois

– 2013, Via Santé Carcassonne peintures sculpture, exposition personnelle

– 2013, 9ème Salon du MAI DES Z’ARTS à Brugairolles, exposition collective
– 2013 Narbonne Syndicat du Tourisme pour les 100 ans de Charles Trenet, exposition collective

– 2013, Salle Lagarrigue à Saissac dans l’Aude, exposition collective.

– 2014, Pour les 10 ans des « Mai des Z’Arts » à Brugairolles peintures Exposition collective

– 2014, Caunes Minervoi,s les céramiques

– 2014, Salle Lagarrigue à Saissac dans l’Aude, exposition collective

– 2014, Premier prix de poésie section  » Acrostiche » de Charles Trenet le thème  » il faut garder la poésie »

– 2015,  » La Poudrière » à Narbonne avec Arts et lettres Septimaniens, exposition collective

– 2015, Le Somail 9ème Salon de peintures et de sculptures

– 2015, Trèbes « Céramiques » La sculpture dans tous ses états, exposition collective

– 2015, Ludon en Gironde, La maison de la culture « Art Tradition et Nature », juin, Invitée, exposition collective

CONTACT : elisabeth.castoriano@wanadoo.fr

Site : https://www.facebook.com/pages/Elisabeth-Castoriano-La-Galerie-po%C3%A9tique/188270354536762?fref=ts

 

Mona SCHECK

 

mona scheck

Auteure compositeure interprète, Mona Scheck puise en partie son inspiration dans l’univers maritime qu’elle connaît bien.

Après des études de philosophie, elle a été marin-pêcheur pendant une vingtaine d’années en méditerranée tout en écrivant des chansons avec un regard caustique et acidulé sur le monde que l’on nous sert. Elle salue au passage sous forme d’hommage   » ceux qui l’ont poussée à reprendre la barre  » comme Anne Sylvestre, Léo Ferré, Jean Guidoni, avec dans son concert actuel, une mise en musique de Baudelaire et Apollinaire. Cependant, elle compose sa propre couleur  tout simplement et son chemin personnel qui est aussi celui des femmes d’aujourd’hui.

Son parcours atypique l’a éloignée de la scène, mais lors d’un des festivals de Barjac, Jean Ferrat l’a beaucoup encouragée à continuer malgré le culte du jeunisme qui sévit dans la variété française ;

 » On ne demande pas à un romancier, un poète ou un peintre de commencer de créer à dix huit ans  » a-t-elle l’habitude de déclarer quand on lui parle de son âge. «  L’important c’est de réaliser sa vie ses rêves à n’importe quelle escale, à n’importe quelle étape, ne rien lâcher tant qu’il y a un chemin à parcourir « .

CONTACT : www.myspace.com/monascheck

Verino PIEDIGROSSI

BIBLIOGRAPHIE

– L’Odyssée d’un Rital, Autobiographie
– Le berger du Vallon Rouge, Roman
– Le sarbacanier des clairs de lune, Policier
– La triade infernale, Essai
Le violon sous le toit, Roman, Éditions Les auteurs d’Occitanie, 2013

 

Bruno ODILE

bruno odile

BIOGRAPHIE

« Je suis né dans les gouttières du temps, au bord du Rhône, dans les plaines abasourdies par la canicule et fouettées par le Mistral. J’ai grandi entre le chat des cigales et le cerceau des fruitiers en fleur, au cœur d’une colline coiffée d’étoiles et de pins d’Alep.  Adolescent, j’ai abondamment pleuré la mort de Pagnol, ce traite qui m’abandonnait à la chasse solitaire des grives et des bartavelles. Adulte, j’ai croisé le fer avec la réalité sociale et culturelle d’un environnement campagnard  où le pain et le Muscat traînaient sur toutes les bonne tables connues. Mon existence fut troublée par le suicide d’une de mes deux sœurs  et quelques années plus tard par un terrible accident de la route  qui me laissa démuni d’une partie de mes fonctions d’autonomie.

Membre fondateur  de l’UNION des auteurs et des Créateurs d’Art du Languedoc-Roussillon (UACALR), j’occupe actuellement le poste de Président « .

BIBLIOGRAPHIE

L’Amour, ce désastre indispensable, Éditions Abatos, 2015
La main dans le chapeau, Éditions Abatos, 2011
S’il se pouvait… La joie, Éditions Lulu.com, 2015

Le souffle et la sève, French Edition / Paperback, 2016

Le souffle et la sève

Résumé :

Prose poétique. Il était une fois, l’eau, l’air et la lumière. L’eau berceuse de vie, giratoire des migrations cellulaires, grand espace sans frontière blotti sous nos paupières de la première heure jusqu’à la fin des temps. L’air, transparent et insoumis, estuaire de grandes suffocations, de transits ondulatoires, de bouffées d’écriture invisible, table de nuit des espaces illimités où le parfum prend racine. La lumière, force inégalable, épanouissement de la matière, bleuissement des aurores naissantes, flammes palpitantes des aveux et des pardons, des regrets et des passions voltigeuses où nos âmes nues viennent boire à la vie.

* * * * * * * *

Rentrer dans l’écriture de Bruno Odile c’est accepter de se libérer des contingences, des poncifs, de toutes choses qui dénaturent le véritable contact pour découvrir et respirer amplement un souffle de vie profond et vrai. Ainsi, dans  Le souffle et la sève, avec une écriture charnelle au comble du ressenti, l’auteur ajuste peu à peu ses  appréciations personnelles pour nous délivrer le suc de sa démarche identitaire.

Le livre s’ouvre comme un conte : il était une fois l’eau et la lumière. Tout est dit qui va pouvoir se développer, s’expanser, nous entraîner dans la soif de vivre et de comprendre.

Sa réflexion sans limite où un état de grâce providentiel convoque toujours la renaissance pourrait donner à penser que la philosophie est peut-être la clé de l’énigme sans cesse posée par celui qui est né sur les alvéoles du doute, mais la lecture nous conduit au-delà.

 

CONTACT : brunoodile@orange.fr

Site : http://brunoodile.canalblog.com

 

Philippe VIGIER

 

vigier II

 

Pour Daphné

AUTO-INTERVIEW
Pourquoi, Philippe Vigier, avez-vous écrit ce livre Dialogues imaginaires avec les peintres ?

Parce que la peinture a toujours été pour moi une passion. J’ai vraiment commencé à m’intéresser aux peintres, lorsque j’ai vécu à Montmartre ; mon père étant Catalan, je faisais chaque été le voyage Montmartre-Collioure, avec une vénération sans fin. Il est bien évident que Collioure reste pour moi, une plaque tournante de l’art. En tant que plasticien (puisque je pratique la peinture), j’y ai d’ailleurs fait une exposition de tableaux en Juillet 2004, précédée d’une conférence sur La Méditerranée et la Féminité, dans le cadre prestigieux du Château Royal de Collioure.
Ce tome 1 de Dialogues imaginaires avec les peintres, vous l’avez écrit comment ?

Très simplement. Au stylo, dès que la nuit est tombée. C’est un rituel. L’écriture demande du silence, et la nuit est le moment parfait, où les idées se développent. J’ai commencé cet exercice d’écriture par le peintre Pierre Bonnard (dont j’ai souvent parlé lors de conférences : à Pézenas, à Narbonne, au Musée des Beaux-Arts de Carcassonne, etc…), parce que je trouvais qu’il avait admirablement peint son épouse, Marthe. D’ailleurs, l’autre peintre qui a magnifiquement peint sa femme, c’est Dali, bien évidemment. Donc, si vous voulez, mes racines font que je reviens automatiquement vers le pays catalan.

C’est pour cela que dans votre livre, il est question de Matisse et du Musée Picasso de Barcelone ?

Oui. Je ne peux pas éviter le Musée Picasso de Barcelone. C’est un chef-d’œuvre, un mythe. Il se trouve qu’à Montmartre, j’habitais rue Ravignan, juste à côté du Bateau-Lavoir, où Picasso avait peint en 1907, Les demoiselles d’Avignon. Pour Barcelone, il a fait des cadeaux somptueux.

Ce dialogue que vous mettez en scène entre Matisse, Picasso, et vous, est un dialogue très comique sur la création ?

Bien sûr, puisque la création artistique est un jeu. D’abord, la technique du dialogue permet de rentrer de plein-pied dans la réalité du discours ; c’est un acte très théâtral. Matisse et Picasso s’amusent directement devant vos yeux (comme des enfants), sur les couleurs, le choix des thèmes. Il n’y a pas d’interdit. Vous savez, en écrivant, je vais vous faire une confidence, j’avais vraiment l’impression que c’étaient eux qui parlaient ; je n’existais que pour rapporter leurs propos.
Je tiens à dire, que c’est là la force de votre livre : dans l’art du dialogue. On suit le peintre dans sa création, tout à fait différemment. C’est un exercice littéraire passionnant ?

Totalement. En parlant de Paul-Elie Dubois et sa traversée du Hoggar, de Marc Chagall (accompagné de Joseph Delteil), d’Albert Marquet, j’étais toujours transféré dans leur univers sans qu’il y ait de calque. Le dialogue ne permet aucune distance critique. On est toujours dans l’essentiel, dans l’urgence. Et je crois que cette écriture est l’image de notre époque : l’urgence. L’écriture permet ce temps de calme (surtout la nuit), d’approfondissement, de ralentissement. Je remercie tous les peintres de m’avoir aidé dans cette recherche.

Il y a une suite ?

Bien sûr : les tomes 2 et 3 mettent en scène tous les peintres que j’aime et dont je parle en conférences : Matisse au Maroc, la période rose de Picasso, Nicolas de Staël (la liste est longue). Ils m’ont permis de mieux les connaître. Le public, en lisant ces pages, peut s’attendre à des révélations exceptionnelles !
Je vous remercie pour cet entretien.

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Ma prochaine conférence sur Les peintres orientalistes espagnoles, aura lieu le Mercredi 10 Juin à 18h30, à la Mairie de Narbonne, dans la très jolie Salle des Synodes, entrée libre.

La dédicace de mon livre Dialogues imaginaires avec les peintres édité aux Presses Littéraires, au prix de 14 Euros aura lieu le samedi 27 Juin 2015 à partir de 14 heures à Narbonne à la librairie Libellis 43 rue Droite (à cent mètres de la Mairie en montant vers la cathédrale, sur la gauche). J’amènerai tout spécialement des enluminures originales faites sur le manuscrit qui seront mises en vente (comme Tapiès).

Aline SCHANDELONG

Née à Paris (75012) dans une famille sensible aux arts plastiques. Mon grand-père paternel était négociant en tableaux anciens du XIX ème siècle et mon père a fait l’école Boule à Paris, ce qui m’a permis d’étudier le dessin avec un de ses professeurs dès l’adolescence.
Études scientifiques loin des arts à la Fac de Pharmacie toujours à PARIS et une activité de Biologiste à l’Hôpital public.
Retour au travail assidu en  copiant des œuvres de maîtres avec Luc Gaultier au HAVRE et aussi l’aquarelle et le dessin avec Véronique Selk à Narbonne.
– Exposition au C.I.V.L à Narbonne Collectif amical à l’initiative de Me Canet.
– Deux expositions personnelles  dans le cadre des Mille-Poètes en Méditerranée :
Indiens d’AMAZONIE en février 2013
Images de VENISE en octobre 2013
– En 2012 Biennale d’Aquarelle de Narbonne où je n’expose pas mais rencontre de nombreux artistes et participe aux stages.
Depuis je travaille seule souvent motivée par mes amis.
MERCI A TOUS

Simone SALGAS

 

simone salgas

 

I. BIOGRAPHIE

Simone Salgas : de soie et de soif

 » Simone Salgas écrit, l’oreille tendue vers une réalité sombre. Elle la met en mots, en humour. en amour. Parfois dans une dureté blanche comme les cailloux de sa garrigue. Elle est fille du soleil. Et de la Méditerranée. Avec une liberté de corps et de cœuer revendiquée, elle dit :  ‘ un pays c’est comme un amant, une magnifique histoire de peau. Un regard qui ne se lasse jamais. Un éblouissement et un accord permanent…’

Elle joue avec les mots de l’éros, ouvre ses secrets. Ici le sexe est ‘de soie et de soif’. Sans tabou ni pathos, juste pour le plaisir de l’amour, elle ouvre à l’imaginaire.  »

Hubert Beauchamp

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 » Simone, elle m’a dit cette chose fondamentale : enfant, elle était fascinée d’observer le regard lumineux de plénitude de son père, sortant de sa chambre où il venait d’écrire. Ecrire, encore et encore, il en oubliait les tracas du quotidien… Ainsi, dès son plus jeune âge, elle sut qu’elle écrirait, que c’était ainsi qu’elle voulait vivre.

Elle ne se préoccupe pas des apparences. Elle a la beauté sauvage, brute ; elle est femme, surtout, une femme au regard malicieux et aux attitudes lascives de celle qui est aimée. Elle habite pleinement son corps, sa peau qui lui a fait connaître mille enchantements. Elle dit vivre de cela, de ces choses triviales qui pour elle, sont notre vérité. Elle écrit des personnages qui mangent, boivent, dorment, dont on apprend les tracasseries du corps, que l’on touche, que l’on sent, dont on connaît les replis de peau. Ils nous émeuvent dans un corps à corps où les mots nous frôlent, nous enlacent, nous attrapent.

Elle aime la couleur, le vert surtout l’accompagne au quotidien. Elle se nourrit de sa lumière, celle de la nature qui habite son œuvre. On y retrouve tous les parfums de la garrigue et du vent. Dans ses tenues, le vert brille de nuances étonnantes, d’harmoniques multiples. Elle écrit, petits bouts assemblés, tissés dans tous les sens. Elle découpe, elle colle et tout prend forme quand elle finit par s’y retrouver après s’être longuement égarée, comme dans ses longues promenades sur les chemins de terre.

Elle se réfugie souvent dans son moulin, seule, entre étangs et collines. Il est battu par le vent dont elle capte la force, l’énergie de vie qui déborde dans son œuvre. C’est cela, dans chaque petite chose qu’elle attrape, il y a une grandeur qui nous saisit, nous transporte. Elle décuple la vie et l’on s’étonne que cela soit si simple.

Entre elle et les autres, il y a l’écriture. C’est une amie fidèle, au contact jovial, mais l’écriture est sa priorité. Elle ne s’encombre pas de politesses si ses personnages occupent son quotidien. Ce serait dommage et inutile de lui en vouloir, si elle n’est pas disponible quand on le souhaite. Elle aime marcher, elle aime le mouvement, elle éprouve les choses. Elle dit que c’est avant tout ce qu’elle va en écrire qui l’intéresse. Son écriture avance avec elle, dans les trains, surtout, où elle est transportée jusqu’à l’incandescence. Et si l’on partage un de ses voyages, on sait que l’on aura aussi nourri quelques lignes à venir…  »

Odile ESTIVAL – le 7 avril 2015

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Simone SALGAS, biographie subjective et suggestive

Nom : Salgas

Prénom : Simone

Sexe : appeal

Née:  oui ! Un vendredi (jour de Vénus), un matin de printemps (saison des amours), à Narbonne dans l’Aude dans le sud du sud de la France, rue Descartes et, comme lui, elle traite du monde et de la lumière. Elle pense ET elle est.

Signes particuliers :

Déteste la viande et le vent du nord. Aime le soleil et la mer sans pudeur ni hypocrisie, la Corbière et l’Espagne, la garrigue sous le pieds nu et l’odeur des pins, la liberté, l’amour, les fruits, les légumes et le vin bourru.

Activité principale :

Écrit, écrit encore, écrit toujours. Pour elle, pour les enfants, pour les adultes et pour tous les autres. Romans, nouvelles, théâtre et poésie sans limite.

Hubert Beauchamp

II.  INTERVENTIONS
Festival international de poésie, Toulouse, Minerve, Bordeaux
– Colloque international : Femmes écrivant en Méditerranée, Montpellier
Les tombées de la nuit, Rennes
– forum : De la lecture à l’écriture, Paris
Écrire en province, Université le Mirail Toulouse
– Université d’été : Du brouillon de l’élève au manuscrit de l’écrivain, Grenoble
– Université d’été : Les techniques de l’écriture littéraire, Toulon
– Casa Velázquez, Madrid (bourse d’aide à la création)
Femmes et créativité, Montpellier
– Ateliers d’écriture adultes, enfants, lectures, interventions dans les collèges : Toulon, Perpignan, Carcassonne, Bordeaux, Lyon, Chili, République tchèque…
– Femmes immigrées : écrire ensemble
– Dérives : Ecriture-peinture, Elne
– Double miroir : Photo-écriture, Montpellier…

III. BIOGRAPHIE
Romans
Le goupil, Éditions Julliard, 1969, réédition Éditions Lacour, 2011
La toupie, Éditions Julliard, 1970
– L’Heure bleue, Éditions Cepadues, 1979
Lilou, Pocket Junior, 1999 (épuisé)
La Laminaire, Éditions Les deux encres, 2004
Traverses, Éditions Lacour, 2007
Lilou prend ses distances, Éditions Encre bleue/Basse vision, 2009
Lilou, suivi de Lilou prend ses distances, Éditions 19, 2011
L’Orthensia, Éditions TDO, 2014
Poésie
Folles saisons, Éditions Grassin, 1959
Atalaya del sol, Éditions Grassin, Prix de la poésie inédite, 1960
Au large de la terre, Éditions Recherches graphiques-Fernand Gautier, 1974
Pour espacer l’espace, Éditions Recherches graphiques, 1991
Agenda en libertés, Éditions Les temps d’art graphique, 2005
Intérieur mer, Éditions Poètes à vos plumes , réédition Éditions Les Verbieuses, 2010
Mer, Éditions Les temps d’art graphique, 2011
L’alphabet en goguette, Éditions Les temps d’art graphique, 2011
Nouvelles
Cathédrales de la mort, Éditions Recherches graphiques, épuisé
Le silence a la parole, Éditions 19, 2011
Elle regarde, Éditions 19, 2014
Contes
Histoire du crayon de bois, Éditions Fernand-Gautier, 1970, réédition Éditions Les temps d’art graphique, 2007
Le Z, Éditions Les Verbieuses, 2009
Dis donc dindon, Éditions Les temps d’art graphique, 2010
– Bégonia, le chat, Éditions Les Verbieuses, 2010
Marie Chocolat, Éditions Les temps d’art graphique, 2011
Fourmis et compagnie, Éditions Les temps d’art graphique, 2011
– Cuisine coquine, Éditions Les temps d’art graphique, 2011
Dans mon cartable, Éditions Asile poétique, 2011
Théâtre
La Diva-gueuse, Éditions Les Verbieuses, 2012
Mater ego, Éditions Les Verbieuses, 2012
Mégashop, Éditions Les Verbieuses, 2012

SABFAK

Sabfak ( née Sabah El fakir ) le 28 juillet 1967 dans un pays lointain où le soleil est roi.

L’auteure qui est peu bavarde à toujours préféré l’écriture à la parole d’ailleurs son maître mot est que les paroles s’envolent alors que les écrits restent.

Grande admiratrice de Martin Luther King, Nelson Mandela, Gandhi et d’autres hommes courageux qui ont marqué l’histoire par leurs combats pour la justice et l’égalité des êtres humains dans ce monde injuste.

Son existence fut troublée et chamboulée par la disparition brutale et inexpliquée de son amie Cassandra, pour laquelle elle a engagé un véritable bras de fer pour faire triompher la vérité.

Sabfak est trésorière principale et Co-fondatrice du collectif des Auteurs du Languedoc Roussillon avec Raymond Matabosch, Bruno Odile et Patricia Bialès, le collectif est aujourd’hui riche de nombreux auteurs et écrivains de toute catégorie.

Dernier livre paru :

Cassandra mortelle vérité,   éditeur : Lulu.com, mars 2015

Genre littéraire : Fiction

Marie-Andrée BALBASTRE

 

marie-andrée guitare

Marie-Andrée BALBASTRE,  Auteur compositeur interprète

Marie-Andrée BALBASTRE doit son amour des mots et de la poésie à son parcours littéraire mais aussi à son attachement à la nature.

Née à Carcassonne d’une famille de viticulteurs, elle est titulaire d’une maîtrise de Lettres classiques. Après avoir enseigné quelques années, elle se tourne vers la chanson, enregistre 4 albums de ces compositions dont le dernier « Itinérance » composé au moment où cette voyageuse qui a vécu en région parisienne et dans le nord, revient s’installer définitivement au pays de ses ancêtres Audois, à Conques-sur-Orbiel. L’amour de la terre natale se conjugue avec le thème du voyage, la cadence du train, des horizons et des ailleurs découverts. C’est tout simplement la vie qui est « Itinérance », la vie que l’on traverse de bout en bout, bon gré, mal gré….

Il fallait, à cette ancienne prof de lettres, laisser une trace écrite de son attachement à ses racines paysannes : le recueil poétique « La terre ce jardin » publié aux « Auteurs d’Occitanie », est un hommage à la création, une invitation à re-garder, sauve-garder notre planète. Les aquarelles de Marie-Noëlle Berson soulignent la beauté et la fragilité de la nature.

Les mots, la musique, la voix forment un tout dans l’univers de la chanteuse : ils offrent une pause, le temps que naisse un rêve, loin des bruits discordants de la vie d’aujourd’hui, pour nous entrainer plus loin, sur d’autres chemins, vers d’autres lumières.

Site : www.mabalbastre.fr

 

Raymond MATABOSCH

Raymondmatabosch
«  Raymond Matabosch est né le 4 octobre 1947, dans un petit village des Pyrénées Orientales, de parents d’origine catalane, modestes ouvriers agricoles. Comme eux, il a le respect de la terre, de sa terre catalane, et il le revendique.
S’il n’avait pas été le fils aîné, il aurait certainement eu une vie plus facile.
À l’âge de dix sept ans, il a cessé ses études, même s’il était un élève doué pouvant aspirer à de hautes responsabilités, pour participer financièrement aux besoins de sa famille, et il s’était expatrié à Paris. Mais, autodidacte, partant de la base, il a su acquérir, au contact des plus grands, tout au long de sa carrière, les notions essentielles pour s’ouvrir sur des activités touchant à sa terre et à la terre, tout en parcourant le monde. Seul bémol, ne possédant aucun cursus universitaire, il a dû s’expatrier dans un institut étranger, mais il n’est pas reconnu en France.
Épris de littérature, il écrit depuis l’âge de douze ans. Sa façon de rédiger ses textes est toute particulière. Souvent au coin d’une rue, à la terrasse d’un café, en pleine nature…, une image, une situation, sur un bout de papier, il griffonne, à la manière d’un peintre brossant une esquisse, des mots..  »
 
Préface de « Portraits croisés », par Laure Nomdedeu
 
Très éclectique, ouvrages de vulgarisation sur les volcans, la tectonique des plaques, la sismologie et les cratères météoritiques, livres de contes et légendes restituant la littérature du monde entier, recueils de poésie japonaise (haïku, Tanka, Sedoka, Katauka, Chôta, Haïbun…) traduits en japonais, en russe, en norvégien, en finlandais…, ouvrages sur l’histoire et le patrimoine du Languedoc-Roussillon et la Catalogne, et pamphlets,  à ce jour, il a publié 57 ouvrages chez un éditeur états-unien et ses publications sont distribuées par les plus grands distributeurs du monde entier.
 
Un petit panel des sites de distributeurs : Barnes & Noble et ses 800 librairies aux Etats Unis, Amazon, etc…