Alhas FONEAN

Alhas FONEAN, Grand Prix de La ville de Capestang

lors du concours de Poésie et de Textes courts AMAVICA 2018

« Pour moi, la poésie c’est une respiration, une oreille à l’écoute du monde contemporain, une certaine intuition, perception des choses qui doit favoriser et permettre − comme tout art −  la rencontre, l’entrée en communication entre les hommes. »

Alhas Fonean est né en Mai 1964 à Montpellier.

Partisan d’une poésie accessible à tous, cet « artisan poète » comme il se plaît à se définir lui-même, est à la croisée des principales écoles et influences poétiques.

Pour lui, le poète doit s’affirmer dans notre société en tant que vecteur de l’actualité. Il se doit d’être le visionnaire, le garant de la mémoire des choses. Quand l’homme oublie, il doit être l’alerte, le pôle de résistance face à la menace qui guette.

Enfin, le poète doit surtout s’efforcer de réapprendre au monde à aimer, à rêver la beauté des choses.

 

Ana HERRERA

Ana HERRERA, lauréate du Grand Prix AMAVICA 2018

dans la Catégorie FRANCOPHONIE

        

BIOGRAPHIE

Diplômée en Philologie Hispanique (Université de Malaga), Ana Herrera est Professeure de Langue Espagnole et de Littérature. Elle mène parallèlement des activités littéraires, de presse scolaire, participe à des lectures, à des projets d’innovation éducative et donne des conférences.

Elle a été secrétaire de la Fédération Provinciale des Associations de Femmes de Malaga. En partenariat avec la Délégation Provinciale d’Éducation et des Sciences de Malaga, elle a publié « Hidalgos y Mujeres de la Mancha cuatrocientos años después » (Hidalgos et femmes de la Mancha quatre cent ans après), et, avec l’Association des Études Historiques sur la Femme de l’Université de Malaga, « María Teresa León, la gran olvidada y Mujeres en la historia » (Marie Thérèse de León, la grande oubliée et les Femmes dans l’histoire).

Ana Herrera a participé à différents ouvrages collectifs (Firmana, Alas, Indocentes, Itimad, Ed. Algorfa) et revues culturelles électroniques (El Librepensador, Almiar, Aldaba, Letras, Ittakus, Estrechando). Elle est collaboratrice de la radio Amicam Radio Campillos, de La Firma, de la Chaîne Ser et des ateliers radiophoniques de « La vida es bella » (La vie est belle) de RTV Marbella. Elle fait partie du collectif Andaloux du livre et de REMES. Elle est par ailleurs sociétaire de Ace-Andalucia et le l’Association Humanisme Solidaire, et elle collabore au projet « Hoy es siempre todavía » (Aujourd’hui est toujours aujourd’hui).

Son poème « Je suis née libre » de l’exposition « Voix de Femme » a été publié dans le calendrier Amnistie Internationale 2015. Parmi ses œuvres publiées, citons la nouvelle « Mi mundo sin fronteras » (Mon monde sans frontière), Octaedro Andalucía-Ed. Mágina, 2009, le récit « Una mujer, una historia » (Une femme, une histoire), Ed. Alfar, 2010, et le roman « Hasta que los muertos lleguen al cielo » (Ed. Adhara, 2013). Elle publie en ce moment dans les revues Letras de Parnasio, Sur, Revista de literatura et Abaadjamaliya.com.

Ana Herrera est également traductrice de poésie en langue française et critique littéraire.

Elle a publié en 2016 « Bajo un cielo añil » (Sous un ciel indigo), ed. del Genal.

Elle a collaboré récemment à l’anthologie « Rencontre-Encuentro », à la « VIème Rencontre Hispano marocaine de Poésie », « Oía hablar a los árboles » (J’entendais parler les arbres) et « Este pasar despacio sin sonido » (Ce cheminement lent sans bruit), l’une et l’autre/ACE-Andalousie) et « Quejío. Grito de mujer, 2018 » (Gémissement. Cri de femme, 2018).

 

À l’heure actuelle, on ne compte plus les nombreux prix de poésie remportés par cette poète, dont le dernier : 1er Grand Prix francophonie AMAVICA 2018 pour ses deux poèmes « Notre maison » et « Seule ».

 

                       

Résultat partiel du concours 2018

Palmarès du concours de Poésie et de Textes courts AMAVICA 2018

Résultats partiel au 24 juillet 2018

sur le thème de « L’amour » et sur le thème « Le Canal du Midi » pour les scolaires 

en collaboration avec les Mille-Poètes en Méditerranée de Narbonne

Les administrateurs d’AMAVICA vous remercient pour votre participation au concours de Poésie et de Textes courts 2018. Le jury du concours composé de membres actifs des deux associations se sont réunis le 23 juillet dernier. Les textes reçus étaient nombreux, ils provenaient de l’ensemble du monde francophone, dont le Canada et la Tunisie pour ne citer que deux pays. Il ne nous a pas été possible de les primer tous malgré l’intérêt particulier de chacun.  Le concours destiné aux scolaires a également été un succès.

Le prix de la Ville de Capestang a été attribué à M. Alhas FONEAN de Montpellier.

Ont été primés :

POÉSIE CLASSIQUE

1er Prix : Alice HUGO de Nizas (34320) pour «  L’amour conquérant »

2ème Prix : Serge COUTAREL de Salindres (30340) pour « Duo d’amour »

POÉSIE NOÉCLASSIQUE

1er prix : Yves MUR de Argeliers (11120) pour « Fleur de sel »

2ème Prix : Alhas FONEAN de Montpellier (34000) pour « Incendiaire »

POÉSIE LIBRE

1er Prix : Guy SAVEL de Paucourt (45200) pour « Amour-sang »

2ème Prix : Alhas FONEAN de Montpellier (34000) pour « Aiguilles du temps »

PROSE POÈTIQUE

1er Prix : Denis BERTHET de Besançon (25000) pour « La clé des champs »

2ème Prix :  Patrick HUGUEN de Houilles (78800) pour « Ce qu’il reste »

PAROLES DE CHANSON

Gérard FRANCO de Mèze  (34140) pour « Extase »

SLAM

Édouard PIOLET de l’Étrat (42580) pour « Marcher sur tes pas »

CONTE COURT

Annick GAUTHERON de Torpes (71270) pour « Étrange histoire »

ACROSTICHE

Yves MUR de ARGELIERS (11120) pour « L’amour de la mer »

HAÏKU

Serge COUTAREL de Salindres (30340) pour « Soudain elle est là »

TANKA

Alhas FONEAN de Montpellier (34000) pour « L’émoi des cerises »

PRIX SPÉCIAL CATÉGORIE COLLÈGE sur le thème « Le Canal du Midi »

Collège Paul Bert de Capestang (34310) :

1er Prix : Léa CONTE pour son haïku « Le canal est joie »

Mention spéciale :

  • Adeline CONTE pour « Le canal est beau »
  • Carolane BLAGÈRES pour « Le canal est doux »
  • Élisa CROUZAT pour « Le canal est beau »

PRIX SPÉCIAL FRANCOPHONIE

1er Prix : Ana HERRERA (Espagne) pour « Notre maison » et « Seule »

2ème Prix : Moez Akaichi (Tunisie) pour « Abstinence »

Mention spéciale :

  • Antonio PEREIRA RAMALHO (Portugal) pour « L’amour en vérité »
  • Najib BENDAOUD (Maroc) pour « Il faisait noir ce soir »
  • Keltoum DEFFOUS (Algérie) pour « Le sais-tu ? »
  • Alexandre MOTTA (Pays-Bas) pour « Marloes »
  • Réal Béliveau (Canada) pour « Mon bel amour »

 

D’autres prix n’ont pu être attribués au cours de cette réunion du jury, notamment, le prix du public et le prix décerné par nos amis allemands. Ils ne seront connus que le jour de la manifestation.

Les décisions du jury sont sans appel.

La remise des prix aura lieu le 5 août 2018 lors des Rencontres culturelles de Capestang, à partir de 17h dans la cour du Château, 1 Place Gabriel Péri, CAPESTANG (34310). Chaque texte primé sera lu par son auteur ou une autre personne chargée de le représenter. Veuillez me faire savoir si vous serez présent ce jour-là (par courrier ou par mail : mm.ihry@gmail.com) pour la bonne organisation de la remise des prix. Un hommage à un auteur occitan est prévu au moment de l’apéritif. Pour ceux qui le désirent, un repas ouvert à tous est organisé à 13h. Deux menus dont un végétarien sont disponibles. Pour partager ce déjeuner avec l’ensemble des auteurs, artistes et invités présents, une réservation est obligatoire, et ce avant le mercredi 1er août 2018. Pour s’inscrire : https://amavica.info/inscription-au-repas/.

Nous attribuerons à chaque lauréat absent une attestation qui lui sera envoyée à son domicile. En cas d’absence lors de la remise des prix du 5 août 2018, les cadeaux des différents lauréats qui n’auront pu se déplacer seront conservés par les associations partenaires à l’attention des auteurs concernés pendant une durée de six mois.

  • Nous envisageons d’éditer un recueil composé des meilleurs textes présentés au concours. Nous devons disposer pour cela de votre autorisation (remplir le coupon ci-dessous et l’envoyer à Monique-Marie IHRY, AMAVICA 13, Rue du Château 34310 CAPESTANG).

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Nom……………………………………… Prénom……………………………….. Nom d’artiste………………………………………..

adresse mail : …………………………………………………………. n° de tél : …………………………………………………………

 

autorise la publication dans une anthologie des textes suivants présentés au concours AMAVICA 2018 dont la remise des prix est le 5 août 2018 :

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Date : ………………………..                                       Signature

Capestang devient un lieu de rencontre de l’édition de qualité

Communiqué de presse du 16 Juillet 2018

 

Bruno Salgues à un long parcours dans le monde de l’édition. Il est directeur de collection chez Hermes Sciences devenu ISTE à Londres. Il dirigera cette année la réalisation d’une vingtaine d’ouvrages dans le domaine des sciences. Monique-Marie Ihry, cofondatrice de Cap de l’Étang Éditions, est poète, mais elle écrit également des romans. Il est donc logique que l’un des thèmes développés chez Cap de l’Étang Éditions soit la poésie.  Une autre série d’ouvrages sera consacrée à la Littérature jeunesse avec des textes traduits en occitan et en espagnol. À paraître également une collection poétique bilingue espagnol-français. Les Éditions du Bout de la Rue ont une stratégie éditoriale très précise dans leur domaine. Un cahier des charges définit les personnages et quelques critères-clés. Les auteurs peuvent proposer des ouvrages − au maximum de deux − dans cette collection en respectant ces critères. C’est notamment le cas de la collection Detectivarium que dirige Joseph Ouatkine. Cette maison d’édition annonce qu’elle ne désire recevoir que des manuscrits destinés à cette collection.

Dans les grandes maisons d’édition, les dirigeants sont souvent issus d’un héritage familial. Notons qu’elles recrutent de moins en moins d’auteurs, pour ne pas dire aucun, reprenant la plupart du temps des auteurs plébiscités chez les « petites » maisons d’édition, les éditeurs indépendants ou sur des sites Internet comme Wattpad.

Les fondateurs de maisons d’édition sont souvent des lecteurs et lectrices de longue date, des amoureux et des collectionneurs de livres.  C’est le cas de Monique-Marie Ihry et de Bruno Salgues qui viennent de transférer leur maison d’édition à Capestang ; elle porte désormais le nom de Cap de l’Étang Éditions.  Les autres éditeurs qui seront à Capestang à l’occasion des Rencontres Culturelles de Capestang, comme ISTE, Le chant des Muses, Sydney Laurent ou Les éditions du Bout de la Rue sont assurément aussi de grands lecteurs.

Ces maisons d’édition pourraient se targuer d’un statut de « militant » aux yeux des autres professions du livre. Créer une maison d’édition indépendante est un acte quelque peu « politique » dans une période où le discours est à la fermeture des librairies indépendantes et à la réduction de la voilure des grands distributeurs. C’est pour cette raison que les éditeurs doivent avoir de l’ambition dans cet environnement hostile. L’ambition crée une dynamique et pousse à inclure de nouveaux auteurs. Les éditeurs définissent des lignes éditoriales afin de sélectionner des livres de qualité. Souvent aussi, ils défendent des valeurs, leurs contenus aux formes innovantes. C’est pour cela que l’édition indépendante est présentée comme un milieu plutôt orienté à gauche.

La publication d’un livre implique des frais importants pour une maison d’édition, il ne faut pas s’en cacher. Cap de l’Étang Éditions a décidé d’avoir une chaîne fortement électronique ; c’est exactement l’inverse pour les Éditions Le Chant des Muses lesquelles utilisent de vieux moyens d’impression pour mettre en avant la qualité des images et des formes associées au livre.

Pour ces éditeurs présents aux Rencontres Culturelles de Capestang, « c’est avant tout une histoire de confiance, de sincérité et de professionnalisme » comme le soulignent les Éditions Sydney Laurent, citation qui pourrait être reprise par les autres éditeurs. Les Editions Sydney Laurent ont mis en place un comité de lecture composé de 130 personnes recrutées dans les bibliothèques nationales, prêtes à lire et à commenter les manuscrits d’auteurs non publiés. Chez ISTE, Bruno Salgues s’intéresse quant à lui à la qualité scientifique des ouvrages. Basé à Salasc, Le Chant des Muses est un éditeur ouvert à des partenariats divers (formations, stages, interventions…) autour du dessin, du monde de l’édition, du livre et de l’estampe. Cap de l’étang Éditions fait de même avec les livres de poésie, en coopération avec la Place des Arts de Narbonne et des associations comme Mille-Poètes en Méditerranée.

Une autre façon de publier des œuvres littéraires consiste à intégrer des textes dans des animations. Le Coq et la Poule de Mer est une histoire écrite par Marc PELAT qui sera également présent aux Rencontres Culturelles de Capestang. Cette histoire écrite en français par l’auteur est traduite en trois autres langues : occitan, espagnol et anglais. Ce conte est un butaï ; le texte se présente sous la forme de plusieurs feuilles superposées avec une image sur une face et son texte au verso. L’ensemble est présenté dans un Kamishibaï, un petit théâtre en bois, un peu comme ceux de nos guignols. Il s’agit ici de l’histoire d’un coq désirant devenir un être de la mer, et de son amie, laquelle se rend compte qu’elle n’éprouve pas de l’amitié pour lui sinon de l’amour. Le conte ainsi présenté devient une histoire on ne peut plus magique. Le Centre de Littérature Orale collectionne ces formes d’expression, Cécile Boucharel Cayla, sa présidente, sera là pour les promouvoir.

Pour qu’un ouvrage se vende, il y a nécessairement une partie événementielle. L’éditeur va donc participer à des salons du livre, ou en organiser. C’est pour lui l’occasion de faire venir des auteurs des illustrateurs, ce qui est en l’occurrence l’objectif des Rencontres Culturelles de Capestang, un Festival d’Art et Lettres qui se déroulera cette année le 5 août 2018. L’éditeur doit aussi mettre en place des lancements, des rencontres en librairie, des expositions, … Il faut également organiser des rencontres avec les libraires. Les Éditions Le Chant des Muses présenteront cette année à Capestang le nouvel ouvrage du peintre Michel Dérosier et de l’auteur Rémy Boyer. Le Chant des Muses est un éditeur de livres dessinés (bandes dessinées, livres illustrés, livres-CD…). Cette maison édite aussi bien de jeunes artistes à l’œuvre innovante, tout comme d’autres connus parfois un peu oubliés. Il présente également des découvertes passionnantes en marge de l’édition de masse. Cap de l’Étang éditions sera présent le 24 juillet de 17 à 19 heures, aux côtés des vignerons et des producteurs de la Région sur le bord du Canal du Midi, devant la Maison Cantonnière de Capestang (Office du Tourisme) et le 5 août prochain aux Rencontres Culturelles de Capestang (Cour du Château).

Si vous êtes auteur, illustrateur ou artiste, l’association AMAVICA vous conseillera et vous mettra en relation avec le bon éditeur. Si les livres sont votre passion, n’oubliez pas les dates ci-dessus.

Pour ne savoir plus , mail : president@amavica.info

Kim WAAG

BIOGRAPHIE

Kim Waag est poète chanteuse.

De formation classique, en chant, guitare et flûte,Kim Waag a commencé à mettre en musique des poèmes de sa mère Cécile Waag à l’âge de 15 ans. Depuis, elle écrit aussi ses textes.

Elle propose des récitals poétiques avec ses compos : des poèmes, écrits par des poètes d’ici ou par elle-même, qu’elle met en musique et accompagne à la guitare.

Kim Waag, l’invitée de Christian Malaplate le 11 décembre 2017 dans l’émission Traces de lumières.

De style folk, ses chansons emmènent l’auditeur dans un monde de poésie.

 

Envol, son dernier album

Felip HAMEL

Felip HAMMEL est né le 29 mai 1949 à Porto-Novo, Bénin. C’est un occitan convaincu.

Après son baccalauréat à Paris en 1967. Il a obtenu une licence de philosophie à l’université de Paris-Sorbonne-Censier en 1970. Il a poursuivi après son service national en 1970-1971 par une licence et maîtrise d’occitan à l’université Montpellier III de 1993 à 1996.

Tout d’abord bibliothécaire documentaliste à l’école alsacienne à Paris (1972-1973), il a été cadre chargé de formation au groupe VIA (1973-1982), puis propriétaire exploitant d’un établissement commercial à Nissan Lez Ensérune (1982 – 1994), qui signe son ancrage local.

Devenu le directeur-fondateur de l’établissement d’enseignement supérieur occitan APRENE à Béziers, il a été chargé de la formation initiale des enseignants des écoles Calandretas (1994-1997). Ce qui montre sa volonté de promouvoir la langue occitane.

Il est devenu alors le directeur-fondateur de l’Institut Supérieur des Langues de la République Française, qui prend en charge la formation initiale des maîtres assurant les enseignements en immersion en Alsace (pour ABCM-Zweisprachigkeit), du Pays basque (pour Seaska), de Bretagne (pour Diwan), du pays catalan (pour les Bressolas) et des

pays d’òc (pour Calandreta) (1998-2007). Il termine sa carrière par la direction de l’établissement public Lo CIRDOC à Béziers (2007-2012).

Linda BASTIDE

Linda Bastide, peintre :

 Expositions à Narbonne, Gruissan, Montmartre, Espagne, Roumanie, Californie….

Linda Bastide, écrivain- poète :

  • Académie Française : 1 voix favorable à l’élection de janvier 2013
  • Membre de la Société des Gens de Lettres
  • Ambassadeur Culturel Européen à Logroño-La Rioja. Espagne
  • Ambassadeur Culturel de la République de Montmartre. France
  • Ambassadeur des poètes français à Petrila- Roumanie
  • Membre des Poètes Intuitiste.
  • Membre du P.E.N Club et de la Charte des Auteurs.
  • Ex-vice Présidente de la Société des Poètes Français, reconnue d’Utilité Publique
  • Présidente des Éditions Poètes à vos Plumes
  • Correspondant de Presse pour le site international http://lesbavardsdunet.fr/

Auteur de :

  • 5 romans
  • 14 recueils de poèmes

 Récompensée par :

  • 10 Prix Littéraires français
  • 9 Prix Littéraires  Internationaux

Dont le dernier en Juin 2015 : Prix International de poésie traduite et illustrée pour son dernier recueil « 13 pas sur les pavés bleus de Montmartre » à Polotzk  (Biélorussie)

Linda Bastide, comédienne (pseudo Linda  Vandal) :

Invitée à  NYC avec le Film « La Dérive » où elle tient le rôle principal, dans le cadre du Festival International de Cinéma de l’été 2015 « Green Festival » qui se tient à Central Park

 

 

 

 

Jo CASSEN

 Poète, écrivain de théâtre, comédien, metteur en scène.

De Maubeuge (Nord)

Enfant de la balle. Né en Mars 1950, fils de saltimbanques ayant bourlingué en France avec un théâtre démontable. Il est né dans une roulotte.

Comédien et Metteur en scène. Ancien élève de René Hiéronimus de la Comédie Française et de Jean Périmony à Paris.

Activité culturelle

Président de l’association Littéraire et Poétique « Trouvères, jongleurs et Ménestrels en Pays d’Aldegonde ».

Animateur, comédien et metteur en scène du « Théâtre de l’Etincelle – Compagnie Echelle & Tartine ».

Membre de :

  • Sociétaire de la Société des Poètes Français
  • Flammes Vives, Mille Poètes en Méditerranée, L’Essor Poétique, L’Etrave, Société des Auteurs et Poètes de la Francophonie.
  • EAT (Ecrivains Associés du Théâtre).
  • ANRAT (Association Nationale de Recherche et d’Action Théâtrale).
  • SACD (Société des Auteurs & Compositeurs Dramatiques)

 

Une carrière riche de Cadre dirigeant d’entreprise qui a pris fin en qualité de DG d’une PMI de 300 salariés.

Précédemment, DAF d’un groupe d’Ingénierie Automobile coté à la bourse de Paris (8filiales, + de 1000 salariés, cadres et ingénieurs), et avant Directeur Financier, puis Directeur commercial de groupes industriels cotés (+1000). Carrière de Management-Finances-Gestion en organisations professionnelles agricoles et de travailleurs indépendants. Etc.

Ancien membre d’une Jeune Chambre économique (Années 80) et de l’association nationale DFCG (Directeurs Financiers et de Contrôle de Gestion- Années 90) et du Centre des Jeunes dirigeants d’entreprises (CJD)

Délégué CFDT-BETOR pour les Antilles, Guyane et Amérique du Sud pour les cadres de la SATEC au cours des années 70.

Ex Président d’un club de réflexion de politique « Charente Avenir » – années 80) et membre d’un club National de réflexion et d’action politique « Les Nouveaux Démocrates » présidé par Philippe Guilhaume –années 80.

BIBLIOGRAPHIE DE POÉSIE 

Recueils de poésie

Editions des Sourciers :

« Vagabond’âmes » – « De Routes en Art » – « Quelques Etincelles Vives »- « Horizons dans la brume » – « Le Bon grain et l’Ivraie ».

Editions Mille Poètes en Méditerranée :

« Le Jardin extraordinaire »

Editions La Nouvelle Pléiade :

 « Variations chimériques »

Editions de la Pisselotte

« L’Epoustouflant périple du banal ordinaire »

 « Les Araignées ne dorment pas la Nuit.

 

Recueils non édités :

Fantômes en cohorte (primé par l’Académie des Sciences, Arts et Lettres d’Arras et aux Poésiades de Moulins),

Chimères (nommé au Concours Jean Aubert de Flammes Vives 2017)…


Ouvrages Collectifs de Poésie

Anthologies Thématiques 

Flammes Vives : « Les Plumes qu’on assassine », « Variations sur la Planète », « Les Voyages », « La Tendresse ». :

Editions du Bord du Lot : « Calliope » 2015, « Thalie » 2016.

Editions Bruno Salgues : « L’Arbre » (Les Rencontres Culturelles de Capestang- 2016)

Anthologies & Recueils Collectifs

Recueil de l’Académie des Jeux Floraux de Toulouse – 2018-

Flammes Vives 2013-livrets 1 et 4, 2014-livrets 2 et 3, 2015-livret 2, 2016-livrets 1 et 4, 2017-livrets 1 et 3, 2018 – livret 1.

Editions du Bord du Lot : « Il vit encore le Poète » -2014-, « Quelques grains d’Hellébore »-2015-, « Comme un bouquet de quilles »-2016-, « L’éventail des mots »-2017

Mille Poètes en Méditerranée : « Il faut garder la poésie »-2014-, « Que reste-t-il de nos Amours ? » -2015-, « La Mer » -2016- « Le truc du pognon »-2017.

Plume de Poètes : « La Différence » -2015.

Société des Poètes Français : « Anthologie de poésie 2016– Livret n°3 ; Anthologie de poésie 2018

Société des Auteurs et Poètes de la Francophonie : « Le Florilège »- 2017-

Musée Joachim du Bellay : « Dix mots m’ont dit » -mai 2016-

Poètes sans frontières (La Nouvelle Pléiade) : Anthologie 2017 –Livret n° 36

Poètes Classiques d’Aujourd’hui (La Nouvelle Pléiade) : Livret n°4 -2015-, Livret n°5 -2016-, Livret n°6 -2016-, Livret n°7 -2016-, Livret n°8 -2016-, Livret n°9 -2017-, Livret n°10 -2017, Livret n° 11 -2018

Essor Poétique : Morceaux Choisis 2017.

Société des Poètes Français : Anthologie de poésie 2018

Revues

Rosati – revue de la Société Les Rosati Arras, 2016, 2017

Essor Poétique – La Roche sur Yon (Vendée) : Printemps 2017, Eté 2017, Automne 2017, Hiver 2017, Printemps 2018, Eté 2018.

Société des Lettres de Saintonge et d’Aunis : n° 28 -2015

BIBLIOGRAPHIE DE THEÂTRE

Editions des Sourciers

– Théâtre Complet : Saltimbanque, Deux Millions, Hélios 888, Le train de 18 heures 54, Deux patates pour un leurre, le Don d’Etienne, Les Impromptus de Maubeuge, Adolphe Hubinet, enfant de Monceau Saint Waast.)

– Théâtre pour la jeunesse : Un, deux, trois Soleil, La nuit mon ange, Pauline de Noël, Nikorima le rusé et la légende du cargo, Omar et l’Oiseau, Histoire de Karim, Le Livre de Médor.

– Le Petit Monde Gypette suivi de Yacamaté, Cannibales en Folie, Le Chariot et la cloche.

Festival ou la Nuit des Carmes suivi de La Nuit de la Grande Ourse, Et les cigales se sont tues, Un poète dans la rue, Youri Tallo.)

La pièce « Festival » a été créée au Festival d’Avignon en 2014.

Editions de la Gare : « Un personnage en quête de hauteur ». (Le Bocal Agité)

Editions du Petit Théâtre de Vallières : « Histoires de jungle » de Jo Cassen (cahier de théâtre n°31)

Théâtre non édité

Théâtre tous publics :

Pièces courtes : « Hors-Jeu – Le loup et la salamandre », « Hold-up au Tour de France », « Le miracle du Saint Nez », « Des mots pour dire les maux », « David et Jonathan ».

Pièces Longues : « Le petit chat est mort ».

Théâtre de Jo Cassen joué à l’Etranger

« La Nuit mon Ange » à Houston (Texas)

« Nikorima le rusé » à Hong kong (Lycée Français de Hong Kong)

« Deux millions », « Hold up au tour de France » en Belgique.

Théâtre de Jo Cassen joué en France

Tous publics :

Saltimbanque, Le Don d’Etienne, Deux Millions, Le Train de 18 heures 54, Adolphe Hubinet, Les impromptus de Maubeuge, Et les Cigales se sont tues, Hélios 888 ou L’Affaire Lady Annabelle, Festival ou La Nuit des Carmes (création Festival d’Avignon 2014)…

Jeunesse :

Un Deux Trois Soleil, La Nuit mon Ange, Histoires de jungle, Hold-up au tour de France, La Nuit de la Grande Ourse, Omar et l’Oiseau, Nikorima le rusé, Le Livre de Médor, Pauline de Noël, Le Petit Monde de Gypette, Hold up au Tour de France, Histoires de Jungle….

DISTINCTIONS & PRIX

Poésie

Narcisse d’Argent – Académie des Jeux Floraux de Toulouse 2018

Grand Prix Charles Trenet 2015 (Mille Poètes en Méditerranée 2015)

1er Prix :

  • Grand Prix de la Ville d’Aix-en-Provence 2017- Prix Mirabeau – (Poésie Classique)
  • Mille Poètes en Méditerranée 2017 – (Poésie Néo-classique
  • SAPF Société des Auteurs et Poètes de la Francophonie 2017 : Prix Claude Sorel (Poésie Libre)
  • Jeux Floraux de Picardie 2017 (Poésie Libre)
  • Jeux Floraux de Saintonge et d’Aunis 2017 : Prix Emile Couzinet-(Scénario de film de court métrage de fiction)
  • Mille Poètes en Méditerranée 2016 – (Acrostiche)
  • Jeux Floraux de Saintonge et d’Aunis 2015 : Prix Jean Boulan (Poésie Libre)
  • Mille Poètes en Méditerranée 2014 – (Poésie Libre)
  • Mille Poètes en Méditerranée 2014 – (Prose Poétique) 

2ème Prix :

  • Apollon d’Or 2018 –Vaison-la-Romaine- – (Poésie Néo-classique)
  • Mille Poètes en Méditerranée 2017– (Prose Poétique)
  • Art et Poésie de Touraine « Jardin de France » 2017 – (Poésie Libre)
  • ROSATI Arras 2017 Prix Visages du Nord – (Poésie Libre)
  • ALVO –Amitiés Littéraires du Val d’Orléans 2017 Prix Charles Perrault
  • Montmélian la Solaire 2017 (Contes, Nouvelles et Récits poétiques)
  • Jeux Floraux de Saintonge et d’Aunis 2016  Prix Henri Mériot (Poésie classique)
  • Jeux Floraux de Saintonge et d’Aunis 2016  Prix Noël Santon (Poésie Néo-classique)
  • Mille Poètes en Méditerranée 2016 (Poésie Classique, Poésie Libérée, Poésie Néo-classique)
  • Mille Poètes en Méditerranée 2014 (Poésie Classique)

3ème Prix, Diplôme d’honneur, Mention ou Accessit.

  • Jeux Floraux du Béarn 2018 – Prix Paul-Jean Toulet
  • Apollon d’Or 2018 – Vaison-la-Romaine – (Poésie classique)
  • Association Philémon- SPAF Midi-Pyrénées 2018 (Poésie Néo-classique & Poésie Libérée)
  • Académie des Sciences, Lettres et Arts d’Arras (Recueil « Fantômes en cohorte ») Médaille de Bronze 2017
  • Flammes Vives : Recueil nommé au palmarès du Prix Jean Aubert 2017 : « Chimères »
  • Poésiades de Moulins 2017 (Poésie Néo-classique, Classique, Nouvelle) et Recueil (Fantômes en Cohorte)
  • ROSATI Arras 2017 : Prix de la ville d’Arras.

Jeux Floraux de Saintonge et d’Aunis 2017 – Prix Henri Montarras (Contes et Nouvelles)

  • L’Essor Poétique 2017 – Prix Francine Robert – (Poésie classique)
  • Editions du Bord du Lot 2017 – (Poésie Classique
  • Mille Poètes en Méditerranée 2017 – (Poésie Classique)
  • Jeux Floraux Méditerranéens 2017 – (Prix de la Nouvelle)
  • Mille Poètes en Méditerranée 2016 – (Poésie Libre)
  • ROSATI Arras 2016 : Prix Maurice d’Hartoy, Prix Pierre Sebert, Prix Henri Caudron.
  • L’Essor Poétique 2016 (Prix Irène Devaux – Classique) et Poésie Néo-classique)
  • Editions du Bord du Lot 2016 (Poésie Néo-classique)
  • Jeux Floraux du Béarn 2015 (Chanson Poétique)
  • L’Essor Poétique 2015 (Sonnet)
  • Salon Orange Reims 2015 (Sonnet, Poésie Classique, Poésie Néo-classique, Poésie Libre et Prose poétique.)
  • Editions du Bord du Lot 2015 (Poésie Libre)
  • Editions du Bord du Lot 2014 (Poésie classique)

Théâtre

  • « Saltimbanque » : lauréat du Concours de la Renaissance Française en 2006.
  • « Histoires de Jungle » « nominée » au Petit Théâtre de Vallières en 2017
  • « Youri Tallo » – Prix Emile Couzinet (Scénario de film de court métrage de fiction) Jeux Floraux de Saintonge et d’Aunis 2017

Jo Cassen – Metteur en scène

  • Quelques Mises en scène (liste non exhaustive)

Diverses compagnies :

  • Les Noces de Sang de Federico Garcia Lorca.
  • Tchao de Marc Gilbert Sauvageon.
  • La Lune se couche d’Harold Pinter.
  • L’Ombre de la ravine de Synge.
  • Oncle Vania d’Anton Tchékhov.
  • Les Mains sales de Jean-Paul Sartre.

Pour la compagnie « Le Théâtre de l’Etincelle »

  • Rencontres peu ordinaires de Philippe Caure
  • Les Derniers Devoirs de Louis Calaferte
  • La Maison pour le week-end de Renaud Loizeau
  • Le Refuge de James Saunders
  • Le début de l’Après-midi d’Eric Durnez
  • Louison d’Alfred de Musset
  • Opération Oméga de Catherine Chevrot
  • Esprit d’Amour de Dominique Eulalie
  • Sarah de John Murrel (adaptation d’Eric Emmanuel Schmitt)
  • Edouard et Agrippine de René de Obaldia
  • Cent heures de Franck Dequidt
  • Un Bonheur Perpétuel de Marc Comairas
  • Les Mangeuses de chocolat de Philippe Blasband
  • La Rencontre de Sophie Aguille
  • La Clé de Michel Fournier
  • L’Homme du Gave de Jean-Paul Alègre
  • La Vie commence au Théâtre de Jean-Paul Alègre
  • Les Cercles Parallèles de Georges Bernay
  • L’Eau du Loup de Pietro Pizzutti
  • L’Enseigneur de Jean Pierre Dopagne
  • Les Déplacés de Xavier Durringer
  • La Nuit de Mai d’Alfred de Musset
  • Ring de Léonor Confino
  • Mademoiselle J’Affabule de Luc Tartar
  • Transit de Carles Battle
  • La Chambre 100 de Vincent Ecrepont
  • Lysie Strada de Bernard Damien
  • Juste la fin du monde de Jean-Luc Lagarce
  • Belles, Riches et Célèbres de Anca Visdei
  • Nalia, la nuit de Eudes Labrusse
  • L’Ours, La demande en mariage, Le Jubilée d’Anton Tchékov
  • Big Blue Eyes de Dorothée Zumstein (Paris 2011 et Festival d’Avignon 2013)
  • Deux Petites Dames vers le Nord de Pierre Notte (Paris 2012)
  • Rhinocéros d’Eugène Ionesco
  • La Véridique Histoire de Damoiselle Rosette de Petit Sars d’Henri Boez
  • Dissolution d’un ectoplasme de Denis Marulaz
  • Bidules Trucs de Pierre Notte
  • Roland Dubillard (Nouveaux Diablogues)
  • Jean Michel Ribes (sketchs)
  • Hanokh Levin (courtes pièces)
  • Les Roses d’Atacama de Luis Sepùlveda
  • Etoile, le petit cirque (Adaptation théâtralisée de la BD de Rascal et Peter Elliott)
  • Paroles de Poilus (Montage-commémoration lettres, articles, poèmes… Evocation de la grande guerre)
  • Barbe de Grive (Adaptation scénique du conte éponyme de Pierre Dubois)
  • Et le théâtre dont il est l’auteur 
  • Un, deux, trois Soleil, La Nuit mon Ange, Nikorima le rusé, Omar et l’Oiseau, Le livre de Médor, Pauline de Noël, La Nuit de la Grande Ourse.(théâtre jeunesse)
  • Saltimbanque, Le Don d’Etienne, Hélios 888 ou l’Affaire Lady Annabelle, Festival ou la Nuit des Carmes, Le Petit Monde de Gypette, Deux Millions, Le Train de 18heures 54,
  • Et les cigales se sont tues
  • Et de nombreux sketchs de café-théâtre ou de cabaret,
  • Plusieurs cabarets poétiques (dans le cadre du Printemps des Poètes)
  • En qualité de comédien : Plus de 150 rôles du répertoire, enfant, adolescent puis adulte

Courriel :

jo.cassen@yahoo.fr

Blog :

www.jocassen.com

www.theatredeletincelle.com

Claire PRENDKI

 

Claire Prendki est auteure et plasticienne.

Elle se partage entre Paris et la Normandie, l’enseignement et l’écriture, des lycéens difficiles et ses parents vieillissants aujourd’hui disparus. Dans son livre, Une mémoire pour Alzheimer, Claire Prendki dépeint, avec humour, tendresse et réalisme sa vie de quinquagénaire écartelée entre la ZEP et la maison de retraite.

« Vous avez vu La journée de la Jupe2 ? Alors voilà, mes élèves, ils sont comme ceux du film ». Claire Prendki va droit au but. Qu’on l’écoute ou qu’on la lise, c’est incontestable : elle a le sens du dialogue. Comme son père, ancien rédacteur en chef du quotidien Le Parisien, elle aurait pu être journaliste. Fine plume, curieuse et rompue aux exigences de la presse écrite, Claire a pourtant choisi d’exploiter sa « bonne oreille » et, plus particulièrement, son don pour les langues, en devenant professeur d’anglais. Tant pis pour l’atavisme.

Une jeunesse itinérante 

Née à Casablanca en 1950, Claire quitte définitivement le Maroc en 1956 pour rejoindre l’Auvergne, le temps de suivre sa scolarité primaire et une partie de ses études secondaires. Naviguant au gré des missions de son père qui prend la direction de plusieurs rédactions, la jeune fille proche de la nature et déjà soucieuse d’écologie devient, de fait, citadine. Au terme de ses études supérieures menées un temps à la faculté de Rouen, un autre à celle de Paris III, Claire décroche une maîtrise d’anglais en 1972. Elle enchaîne sur le Capes et entame sa carrière sa d’enseignante en acceptant, sans chercher à s’économiser, des postes de suppléante dans des collèges et lycées de l’académie de Versailles. En 1980, la jeune femme est titularisée. Elle a déjà compris que, contrairement au sentiment apparent de son père, le métier d’enseignant était tout aussi périlleux que celui de journaliste.

Un éclectisme littéraire 

Affectée dans des établissements sensibles de Paris et de la région parisienne, confrontée à la désinvolture et à la violence scolaire, Claire ne fuit pas. « Je viens d’un milieu où aller travailler, quel que soit son état de santé, est un principe. À plusieurs reprises, j’aurais pu demander à m’arrêter. Je ne l’ai pas fait ». Son salut, l’enseignante le trouve dans les voyages, ses « grandes balades sur la planète », et l’écriture à laquelle elle se livre lorsqu’elle part rejoindre filles et époux dans son village de Normandie. « J’écris depuis toujours », dit-elle. « C’est ma façon de vivre hors du temps. Des poèmes, des pièces de théâtre3, des nouvelles, des textes de chanson. » Son talent, sa créativité et son éclectisme lui valent de devenir vice-présidente de l’association Plumes à connaître (APAC) en 1992. Récemment, tandis que germe en elle l’idée d’un roman sur fond de violence scolaire, un agent littéraire lui conseille plutôt de relater, avec le ton distancié qui la caractérise, l’expérience douloureuse qu’elle est en train de vivre.

Une réflexion sur la transmission 

Confrontée au placement soudain de ses parents en maison de retraite et à la maladie d’Alzheimer dont souffre son père, l’enseignante écrit, en quatre mois à peine, son quotidien. « Une vie partagée entre une jeunesse pleine de vigueur à qui l’on a du mal à transmettre quoi que ce soit et une vieillesse inéluctable qui efface tout sur son passage… Une situation compliquée demandant une organisation personnelle éreintante et dans laquelle se retrouvent beaucoup d’enseignantes de ma génération… »

Attendant son départ en retraite « en juin 2011, vraisemblablement », pour se consacrer totalement à l’écriture, Claire Prendki continue d’enseigner l’anglais à ses lycéens de ZEP, espérant, à la rentrée prochaine avoir quelques élèves de BTS. Pour varier les plaisirs. Terminant un petit roman de science-fiction sur l’état de la planète, elle couche enfin sur le papier son grand intérêt pour l’équilibre écologique, reprenant ainsi un flambeau longtemps porté par son père4. Plus tard, Claire le sait déjà, elle écrira un polar.

                                 Marie-Laure Maisonneuve 

(1) « Une mémoire pour Alzheimer », Claire Prendki (préface d’André Bercoff), éditions Alphée, 2009.
(2) Le film de Jean-Paul Lilienfeld
(3) Elle est notamment l’auteur de la comédie satirique « Cloches de Noël », mise en scène par Sophia Madar et récemment jouée au théâtre parisien Le Proscénium
(4) L’un des membres fondateurs de l’association des Journalistes-écrivains pour la nature et l’écologie (JNE).

Elle est auteurs de textes de poésie dont  » Post Coïtum  » ou  » Tempête en baie de Morgat « .

Cloches de Noël   (comédie satirique d‘aujourd’hui) est sa pièce de théâtre la plus connue.

A Paris,  le 24 décembre,  quai de la Râpée, 4 SDF  parlent du froid et de leur vie. Il s’agit de la bande à Dany sympathique ex chauffeur de poids lourd. Un professeur de philo au chômage  les rejoint.  Il vit une  période très difficile.  Au cours de la nuit, ils sont démarchés par une attachée de presse  qui a besoin de SDF pour passer  à la télé  ( TF 3) dans une émission de téléréalité sur les «  SDF indépendants », ceux qui n’ont pas voulu rejoindre un centre de secours. Ils refusent d’abord puis se ravisent et contactent l’attachée de presse  de l’émission. Ils sont persuadés qu’ils gagneront de l’argent. Ils sont donc invités  sur le plateau mais Ils perturbent l’émission  en refusant les jobs proposés par les DRH qui appellent en direct. Seul le prof de philo  accepte le job de veilleur de nuit dans une usine de croquettes  pour chiens en banlieue. Puis, le lendemain, dépités, on les retrouve sur le trottoir  à vendre les produits  offerts  par les sponsors ( croquettes, boîtes de Cola…)   Aidés par une association caritative, ils attendent dans la bonne humeur  de fêter la galette de l’Epiphanie et le texte s’achève sur une lueur d’espoir

Ce texte drôle est de la veine de «  Le Père Noël est une ordure » ou de «  La  vie est un long fleuve tranquille ». Les dialogues  ont une parenté avec ceux de Michel Audiard. Ce texte n’aurait besoin que d’un petit budget. Il a été joué au théâtre plus de 30 fois en 2008 et apprécié pour son ironie grinçante.

Blog :

http://www.couleurs-poesies-jdornac.com/tag/claire%20prendkis/

Sandra DAO

 

Tout d’abord danseuse-chorégraphe puis enseignante en Tai ji quan et Qi gong, Sandra transmet aujourd’hui ce qui l’a passionne : la magie du mouvement présent. Le retour à la nature au cœur d’une famille pleine d’amour, lui font toucher comme jamais l’essence de la joie. « On verra la vie » est son premier roman.

 » On verra la vie« ( Fragment d’un voyage inconnu), Edition Grand M, Sandra DAO a toujours cherché à travers différentes pratiques corporelles et les voyages comme expérience de déracinement à se nourrir de tout pour tenter d’amener le corps vers une transformation au quotidien.

 

Extrait du livre :

 » Elle aime partir. Elle est partie très tôt, emportée par la vie, serrée contre le chagrin de sa mère, vers la France, comme une échappée d’espoir. Sa mère a dû se dire ça aussi: On verra la vie ! Avant de partir, l’Espagne au cœur, le corps en exil, l’esprit embourbé de douleur vers un meilleur possible, ailleurs. »
                                                            
Poser doucement une main sur mon cœur

Et sentir l’âme du monde battre tendrement

 » J’aime le mouvement du voyage de la vie, il me réjouit. Si simple, en voyage il n’y a rien à prouver. Ma pensée se dénoue par le quotidien, il s’agit juste d’être, dans les actes de chaque jour. C’est comme rentrer chez soi. Je suis celle qui marche, je suis le chemin. Il n’y a rien à atteindre, tout est atteint dans l’instant où le but se dissout. Là, se trouve la porte lumineuse du désert intérieur. Ici commence le voyage intime. Je SUIS simplement. « 

 

Site : 

www.sandradaomartinez@gmail.com

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